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Jeff
le 20 septembre 2010 à 07:44

Rouler à moto sous la pluie

Chaque type de pluie génère des conditions de circulation différentes et invite à conduire en conséquence. Attitudes et astuces pour aborder sereinement les chaussées humides.

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Anonyme

le 8 janvier 2014 à 22:10

Rouler à moto sous la pluie

Bonjour à tous,
Déjà moi je roule par tous temps.... y compris sous la pluie car l’habitude rends la chose facile. On apprends à maitriser sa peur et sa bécane. Rouler cool et avoir du bon matos : double vitrage pour mon C3 pro, un survêt en nylon (haut+bas)qui ne flotte pas au vent : je prends plus large pour le pantalon car il faut l’enfiler au plus vite et il me remonte très haut sous la veste. Je mets des gants latex sur mes gants gore-tex, les gants sous les manches pour ne pas servir d’entonnoir.
J’ai un tour de cou enrobé genre néoprène parce que c’est souvent par là que l’eau entrait dans la veste. Les bottes sont des Soubirac en cuir gras, elles font leur boulot si on les glisse sous le pantalon (riez j’en ai déjà vu qui roulent avec le panta dans les bottes). Les pneus : des Angel GT ou des Roadsmart2 ils me mettent en confiance sinon un PR2 (pas le 3 surtout sous fortes pluies) Moi pour la pluie j’ai de la chance : j’habite les ardennes.....

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Anonyme

le 10 octobre 2012 à 22:00

Rouler à moto sous la pluie

D’ajouter qu’avec la "force centrifuge" dans les virolos et les rond-points, je fais en sorte de prendre les intérieurs au maximum lorsqu’il pleut... Les huiles moteurs s’évacuant et partent vers l’extérieur d’un virage... Enfin, est-ce une rumeur ? Je l’ignore mais je l’applique depuis des années.... Quand il gèle, c’est une autre histoire ! Bisous à tous ! (ZZR14)

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Anonyme

le 6 décembre 2010 à 17:36

Rouler à moto sous la pluie

Bonjour à tous

Mai 2010

Marseille-Bordeaux : Sous les orages..partis à 17h00, arrivés à 23h30

le lendemain :

Bordeaux - lorient :sous le déluge ...6°..incroyable. Un vrai choc thermique.

Rain -x pour la visière, pantalon pluie, botte membranée, gants mi-saison cuir pour le pilote.

Sur-pantalon et sur-veste pour la passagère, chaussure rando membranée.

bilan : Le froid a été un vrai problème car le blouson Spidi pourtant membrané, au 2° jour, a laissé rentrer l’eau au niveau du nombril, pas beaucoup mais suffisamment pour insidieusement, me frigorifier sans même me rendre compte que mon ventre était mouillé. jamais eu aussi froid alors que je roule aussi l’hiver (dans des conditions moins pourries). les gants n’étant pas prévus pour cela...
Le rain-x ..impérial facteur de securité.
Le kit xénon sur mon optique lenticulaire m’a beaucoup aidé à rester concentré sur la conduite, un confort certain (250km quasi seul sur la route avec des éclairs partout..dantesque)

Ma passagère ( quelle abnégation !) au sec mais transie de froid.
Faut dire qu’on revenait de Tunisie..

A refaire : sur -veste pour moi et des chauferettes !
Le jet c’est fini pour Madame (en même temps je l’avais prévenue...)

V à tous

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Anonyme

le 6 décembre 2010 à 15:16

Rouler à moto sous la pluie

la solution pour qui ne craint pas le ridicule....
je fais 30.000 kms par an , profitant de la douceur angevine , je connais assez souvent la pluie ,( pour les fines gueules : c’est toujours mieux que la neige). La solution que j’ai trouvépour les bottes , de bottes en caoutchouc de jardin , très étanches , il suffit demettre de bonnes chaussettes pour le froid , par dessus , un ciré de marin ou de chantier pour le bas. Pour le haut , un Kway glissé sous le blouson. Entre le pull et le blouson, meme si le blouson est complétement trempé le pull reste sec. Pour les mains , une paire de sous gants , et par dessus , des gants mapaou autre gants de vaisselle ou pour manipuler les produits dangereux.
Forcément comme les couleurs sont pas copordonnées ça fait un peu arlequin , surtout que je ne manque pas de porter un gilet haute visibilité. En attendant , j’ai l’air con , peut être , mais au moins je voyage au sec , et on me voit.
Alllez , bonne route.

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Anonyme

le 8 novembre 2010 à 17:08

Rouler à moto sous la pluie

bonjour BRU.
Rouler sous la pluie j’ai connu et je connais encore occasionnellement car j’ai changé de région. Pour ton problème de visière, il y a deux solutions qui peuvent se cumuler. La première consiste à utiliser un spray déperlant pour ta visière, ainsi l’eau glisse dessus. La seconde consiste à te servir de tes gants comme essuie glaces lorsque la visibilité est trop faible. Pour tes gants et tes bottes, je crois que tu dois acheter autre chose. En effet il t’en faudrait qui soient doubler de goretex. C’est assez efficace, même avec plusieurs centaines de kilomètres sous des trombes d’eau. Le problème est lié au budget.
Bon courage.

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Anonyme

le 7 octobre 2010 à 22:33

Rouler à moto sous la pluie

Ce commentaire est intéressant et très réaliste quant à la nécessité de s’adapter à quantités de paramètres tout au long du parcours. J’ai fait, il y a peu, Dieppe-Paris par la nationale sous des trombes d’eau (180 km), voici mes remarques : Au départ, j’avais enfilé la tenue de pluie sur le blouson et les jeans et, de ce côté là, je me sentais plutôt bien, au chaud, en "sur-couveuse" même ! (il avait fait assez bon ce jour là). Les inconvénients, de différents ordres, se sont présentés au fur-et-à-mesure :
1°) Equipement motard :
- Mes vieilles bottes en cuir, bien poreux par endroits, ont bu l’eau du ciel comme après une traversée du désert. J’avais les orteils qui baignaient dans une cuvette d’eau.
- Mes gants, quasi tout neuf, que je gardais pour les petits matins frais, le presqu’ hiver, achetés 50€ chez Honda, que j’en étais même très contente, moelleux et tout et tout... 2ème séance de grosses pluies en une semaine d’intervalle et ils ont dégorgé à me laisser les mains humides et toutes bleues.
- La visière : Le pire, je crois, dans la question de l’équipement motard : mauvaise visibilité, buée à l’arrêt ou à faible allure... vous ajoutez une condition de conduite la nuit et tout peut devenir très pénible !
2°) Rouler sous la pluie :
- Sur ce trajet et comme maintenant partout en France, les rond-points se multiplient comme des champignons, ils sont toutefois très différents par leurs courbes, leur revêtement même. Je n’ai pas rencontré de problèmes sous cette forte pluie dans cet itinéraire mais, à même allure, je me souviens avoir glissé de l’avant à plusieurs reprises sous une petite bruine et sur des routes dans l’Est (Haute Marne).
- Bien sûr, faire attention en cette période de l’année à toutes les traces de boue des tracteurs (surtout sur départementales) ; aux feuilles mortes, branchages tombés sur la chaussée, etc. Sans oublier d’éviter de rouler, freiner ou tourner, autant que faire se peu, sur les bandes blanches des passages piétons, sur les plaques d’égout, etc...
- Faire encore plus attention aux caisseux qui ne savent carrément plus conduire sous la pluie.
- Adapter sa conduite aux éventualités d’un freinage d’urgence sur chaussée glissante.
Au final (parce qu’il ne faisait pas trop froid non plus et que ma "prise d’eau" ne m’a pas handicapé plus que ça en me gelant les "miches") ce qui m’a dérangé le plus est la "mauvaise visibilité".
Je ne peux même pas m’imaginer rouler en voiture sous une forte pluie sans essuie-glaces. Pourtant, n’est-ce pas ce que nous faisons en moto, derrière notre misérable visière, déjà rapidement pelliculée par toute la flotte ailée suicidaire ?
N’y a-t-il point quelqu’un, quelque part, qui se penche sur la question ??

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