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François le 3 juin 2014 à 18:17 |
Essai Yamaha SR 400 : mono-écoleLe gromono a marqué les esprits dans les années 80. Il nous revient 35 ans après, en 400 cm3. Une moto charmante, dans l’air du temps, mais qui a perdu en caractère. |
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Anonyme le 4 juin 2014 à 12:45 |
Yamaha SR 400 : mono-écoleUn comparatif entre la Yamaha SR400, la Mash 250 TwoFifty et la Royal Enfield Bullet ou Continetal GT serait bien utile et très intéressant. |
Anonyme le 4 juin 2014 à 12:39 |
Yamaha SR 400 : mono-écoleEn virant ce pot trop castrateur avec sa sonde, on peut facilement gagner une dizaine de CV bienvenus ! |
Anonyme le 4 juin 2014 à 12:03 |
Yamaha SR 400 : mono-écolea ce tarif la , la décense minimum eut été de le sortir en 500 ! deja qu ’il n’était pas foudroyant dans cette cylindrée , mais alors en 400 ! et je parle bien la de sensations , les perfs on s’en fout . |
Anonyme le 4 juin 2014 à 11:58 |
Yamaha SR 400 : mono-écoleBelle machine. |
Anonyme le 4 juin 2014 à 05:07 |
Yamaha SR 400 : mono-écoleTrés belle machine, vu chez mon cc. |
Anonyme le 4 juin 2014 à 00:10 |
Yamaha SR 400 : mono-écoleUn truc qu’on peut pas enlever aux japonais, c’est que c’est eux qui ont amené la fiabilité. Pas forcément synonyme de longévité, suivant les modèles. Mais évidemment, plus un moteur tourne vite, moins il risque de durer. |
Anonyme le 3 juin 2014 à 23:25 |
Yamaha SR 400 : mono-écoleQUID de la fiabilité entre une Yamaha SR400 et une Royal Enfield Continental GT ? A ce niveau, apparemment, la japonaise a l’avantage... |