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Comparo échappements : making-of

Test : 5 pots adaptables passés au banc. Comment l’adaptable, moins cher que l’origine, influence-t-il le fonctionnement du moteur ? Testés sur une Kawa Z 750 : Akrapovic, Leo Vince, MIVV, Ixil et Sebring… tous les résultats avec Moto Magazine.

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Échappement Akrapovic Slip On : le mauvais prix

Le banc Dynojet mesure couple et puissance à la roue arrière selon les normes Din (Deutche Industri Norm). Dans le même temps, une sonde placée dans le silencieux analyse les gaz (im)brûlés indiquant le fonctionnement de l’injection. En jeu, l’incidence possible des silencieux adaptables sur le fonctionnement de la sonde Lambda et du calculateur qu’elle renseigne.

Logiquement, la courbe « air/essence » doit peu varier comparée à celle de l’échappement originel qui tend vers la ligne droite, symbolisant le mélange idéal (13 à 14%). L’atteindre est depuis toujours le rêve pieux de tous les motoristes. Sur ce critère, deux adaptables soutiennent la comparaison. Les trois autres montrent de forts enrichissement en carburant.

Quant au bruit, tous les adaptables sont nettement au-dessus de la moyenne de 87 dB relevée pour l’origine. Les décibels s’additionnant selon un calcul logarythmique, une augmentation de 3 dB double le bruit émis et ses nuisances. Même si le maxi autorisé mentionné par la carte grise – 96 dB – n’est pas atteint, les passants et vos voisins ne vous remercient pas.

Au final. Deux « pots » offrent un peu plus de pêche à très haut régime et avec un fonctionnement moteur très comparable à l’origine. Un troisième fait de même mais avec une courbe air essence moins intéressante. Ils sont à découvrir dans Moto Magazine, n°276 actuellement en kiosque.

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