Poster un message en réponse à Contrôles routiers : du favoritisme dans l’Aisne

Sous Mitterand, il n’y avait pas non plus internet pour faire le "buzz"... Personne non plus n’avait encore, à l’époque, décidé que la sécurité routière était une "grande cause nationale" (Chirac). Donc on n’en faisait pas non plus des tonnes en trop sur un sujet somme toute secondaire (le papier, ça coûte cher, les journaux avaient autre chose à foutre que de rapporter ce genre d’anecdote). Il n’y avait pas non plus de radars automatiques (Sarko), ni de grandes opérations de com’ comme celle rapportée ici.
Tout n’était pas rose sous "Tonton", qui n’était pas un ange non plus (au passage), mais ta litanie (...)