Mais dès que les frimas s’affermissent, nécessitant l’utilisation fréquente de sels anti-verglas, une moto roulant tous les jours ne conservera ses surfaces métallisées intactes que si elle est lavée quasiment quotidiennement.

Ecolonomie

 À cette fréquence, la station de lavage devient vite aussi corrosive pour… le compte en banque que gaspilleuse (100 à 150 litres d’eau pour un lavage).
 Comme le démontrent les tests publiés dans Moto Magazine (n°251, octobre 2008), on peut nettoyer sa moto en utilisant bien moins d’eau et sans plus polluer.

 Conditionné en litre, le Ophir Auto offre une grande souplesse d’utilisation et peut s’utiliser aussi bien pur (parties très sales) que dilué en plus ou moins grande quantité.
 Pour un entretien quasi quotidien, deux bouchons et 5 à 8 litres d’eau peuvent suffire en comptant le rinçage pour moitié. Même pur, l’Ophir Auto peut aussi très bien ne pas être rincé, mais simplement essuyé avec des chiffons en microfibre ou de vieilles serviettes de bain.

 Sa composition entièrement d’origine végétale lui procure une biodégradabilité très rapide pour un rapport efficacité prix bien supérieur à celui de la plupart des nettoyants contenant des composants d’origine pétrolière.

Conclusion :

Origine 100% végétale et efficacité de bon aloi oblige, à moins de 6€ le litre, même l’argument environnemental ne peut plus servir la mauvaise fois de qui néglige sa moto l’hiver. L’autre solution est de ne pas s’en servir. C’est vous qui voyez.