L’Auvergnat affirme également que la compétition sur deux-roues lui permet de s’aérer à la suite d’une contre-performance dans son sport de prédilection. Et à son entourage, qui lui recommanderait de ne pas pratiquer une activité réputée dangereuse, il répond : « Si j’écoutais tous les conseils de prudence, je ne rentrerais même pas de l’entraînement, je dormirais sur place ! »

« Les Mondiaux (de saut à la perche) sont encore loin (10 au 18 août 2013), s’il m’arrive quelque chose j’aurai le temps de me rétablir », poursuit Lavillenie.

Dans le sport professionnel, pratiquer la moto est fréquemment interdit aux champions. C’est même parfois précisé dans le contrat qui les lie à leur employeur. En participant au Bol d’Or, Renaud Lavillenie apporte sa réponse aux détracteurs de sa passion.

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