Il existe globalement deux catégories, dont la fourchette de prix s’étend de 7 à 120 € : ceux qui s’ouvrent par le haut et ceux qui s’ouvrent sur la longueur.

Accès.
Séduisant pour son extrême simplicité et sa qualité de fourre-tout, le simple tube se ferme par le haut en roulant les bords avant de les maintenir par un clip. Pas de fermeture à glissière ou de coutures en nombre qui risquent d’affaiblir sa durée de vie. L’étanchéité est parfaite, au point de nécessiter d’en chasser l’air avant de le fermer sous peine d’obtenir un flotteur !
Leur contenance varie généralement de 30 à 90 litres. Une fois vidés de leur contenu, ces sacs ont un encombrement très réduit. Mais toute qualité a son revers : pour s’en convaincre, il suffit de chercher ce qui est au fond…

Pour parer ce défaut de principe, certains fabricants ont choisi de doter leurs polochons d’une ouverture sur la longueur. Deux modes s’imposent alors : la classique glissière, protégée par un large rabat (éventuellement maintenu en place par des Velcro) ; et le mode enroulement, adapté dans le sens de la longueur. Ces deux solutions existent en matériel de sport nautique, mais les équipementiers moto le proposent également.

Portage et arrimage.
Les polochons les plus basiques sont totalement dépouillés. D’autres sont munis d’une simple poignée de portage. Les plus évolués possèdent des sangles permettant de les porter au dos ou en bandoulière – pratique lorsqu’on redevient piéton.
Des modèles spécifiques moto sont également munis de boucles ou de sangles et crochets intégrés destinés à faciliter l’arrimage sur la moto.
Le must, évidemment.

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