Nouveauté "revival" à Milan : Vespa PX 125 et 150

Bravo, a vous, et que dire de +.

@ didoux sur la photo "soul of steel" dont vous parlez il s’agit bien d’une coque de GTS, donc rien à voir avec le PX. Mais vous avez raison d’évoquer le LML 4temps, car sa coque avait été rigidifiée et le train arrière modifié pour accueillir le moteur 4 temps, améliorant un peu le comportement au passage. Pas sûr par contre que le PX 2011 reprendra cette coque indienne.
Ravi de voir le PX de retour, cependant.

Ah non ! Maître Capello (avec deux « l » :), ici, c’est moi... du moins, c’est le surnom que certains de mes collègues m’ont donné :)

Ceci dit, je n’étais apparemment pas passé sur cet article ou avec trop peu d’attention : vous avez parfaitement raison, même si l’on trouve souvent écrit « oyé », que l’on pourrait associer à un participe passé... qui n’a jamais existé en français (ouïr étant un verbe du 3e groupe, pas du premier) !

Du coup, merci de votre intervention : la faute a été corrigée.

"Oyé, Oyé". Plutôt "oyez, oyez", non (impératif de "ouïr", 2ème personne du pluriel) ? Ou alors "oh yeah, oh yeah" pour les mods en scoot...

Maître Capelo

Mais quelle bonne nouvelle !
A quand le lancement d’une série limitée de T5 ? Oui je sais, là j’exagère !

Sur image avec un chassi à la verticale vu de dessus, intitulé "Milan 2010, Vespa PX 125 et 150 : « l’esprit de l’acier »".

Cette photo m’amène à me poser 2 questions :

Etes vous sur qu’il s’agit bien d’un photo d’un chassis de PX 125 et non d’un vespa 125 Gran Turismo ?

Et si et je dis bien "si", il s’agit d’un chassis de vespa PX, alors vous êtes passé à coté de toute les innovations du nouveau chassie du PX :

le chassis a pris en épaisseur sans doute pour laisser passer un circuit de refroidissement se trouvant à l’avant vu le trou que l’on peut percevoir, et sur la partie arrière à l’emplacement du reservoir, le chassis est débouchant, alors que sur les chassis de PX il y a un double fond, par contre ce n’est pas sans rappeler les chassis du LML 4T qui sont eux aussi débouchant.

Oui, content comme un gosse qui retrouve un jouet qu’il croyait à jamais perdu. Soixante trois balais, dans pas loin, j’ai toujours gardé un "PX" sous la main. C’est
sur, ils le sorte, je le veux, il me manquait !.

J’ai eu plusieurs PX 200 depuis 20 ans, je roule en moto mais je n’ai abandoné mon Putain de PX ;
C’est le dernier vrai scooter loin des productions en plastique à la recherche de la performance absolue (Tmax ou le prochain HONDA). En fait si l’on aime la méca c’est un jouet de grand avec un nombre d’accessoire pour le modifier équivalent a Harley. Bref j’ai quarante piges et j’aime toujours ce scoot merci à la Piaggio de concerver le Mythe.

Ah, on fait une pause dans la "croissance" perpétuelle des performances de nos chères usines à gaz. La preuve par le plaisir : Le PX revient. A l’heure ou l’on fabrique volontairement trop de chevaux (200 pour le moment...) pour mieux les limiter par des systèmes électroniques : Anti patinage, anti cabrage, antiblocage, lui il a tout d’origine et il doit bien rigoler. Dans les casses motos, un jour vous croiserez des ZX, RR, TXR et des machins bardés d’électronique façon téléphone portable, mais jamais de PX, jamais de flats, pas plus de Ducati ou d’Harley. En un mot, vous ne verrez jamais de motos de caractères. Longue vie aux motos qui en ont.

Quel bel article enthousiaste sur ce 2RM mythique qui renvoie à leurs chères études les designers asiatiques et leurs ORPNI (Objets Roulants Plastifiés Non Identifiés). Piaggio a 1000 fois raison de ressortir ce best-seller populaire à la gueule de jouet. C’est l’exemple d’un véhicule qui lie fonctionnalité, esthétisme et fiabilité, conçu à une époque où les attentes des utilisateurs étaient à la base de la création. Ce qui est encore plus rock’n’roll, est qu’il garde son moteur deux-temps, coeur de cette machine si attachante.

Les détracteurs lui reprocheront ses roues de 10 pouces, sa tenue de route parfois bizarre, ou son manque d’aspects pratique, par rapport aux productions actuelles. Mais un PX, c’est une histoire de passion, ça s’apprivoise, et on en a pour son argent. Le PX se patine à l’emploi ; quelques bignes, quelques rayures ne font qu’ajouter à son charme. Il n’y a pas de morceaux de plastoc qui vibrent ou explosent à la moindre gamelle ; il y a du métal, matériau certainement plus écolo que les polymères hydrocarbonés.

Enfin, Piaggio va le fabriquer en Italie, et non dans une ville-usine chinoise, et le vendre à des tarifs intéressants. Comment font-ils ?

En ressortant ce modèle Piaggio tente de réparer une grave erreur de stratégie marketing (abandon du PX en 2005). Vous voyez Jeep abandonner la Wrangler, ou Land Rover poubelliser le Defender ?