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François le 18 juin 2010 à 10:24 |
Mistral gagnant. (Re)découverte du mythique circuit Paul Ricard à nouveau ouvert aux motosAprès dix ans à guichets fermés, le légendaire circuit français, avec ses infrastructures et sa nouvelle piste ultra-sécurisée, s’offre désormais à nos motos. À l’occasion des « Open Mutuelle des motards », nous avons déchiffré pour vous ce circuit de légende au guidon d’une GSX-R 750 de 1999, dernière machine à avoir remporté le Bol d’or ici même. Suivez le guide ! |
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Anonyme le 29 octobre 2010 à 10:01 |
Mistral gagnant. (Re)découverte du mythique circuit Paul Ricard à nouveau ouvert aux motosPour fêter les 40 ans du circuit j’ai mis mes archives personnelles des "années légende" sur mon blog ci-dessous. |
Anonyme le 10 juillet 2010 à 10:07 |
Mistral gagnant. (Re)découverte du mythique circuit Paul Ricard à nouveau ouvert aux motosdésinteret ? le mot est un peu faible , moi je dirai plutot haine farouche pour ce qui est sport mécanique ! et nous sommes le seul pays européen a avoir l’équation suivante : ultra répression sur les routes et circuits inaccessibles au motards de base sinon quelques jours par an et a des prix exorbitants. par comparaison , dans les années 70-80 je roulais tous les dimaches apm sur le circuit de nogaro pour 50F, ledenon idem , essayez pour voir maintenant..... |
Anonyme le 9 juillet 2010 à 21:09 |
Mistral gagnant. (Re)découverte du mythique circuit Paul Ricard à nouveau ouvert aux motosAprès quelques Bols et Grands Prix, je faisais partie des spectateurs du dernier, en 1999. On sentait une forte émotion, surtout parmi les Français. On a tous envahi la piste, un quart d’heure avant la fin de la course. J’ai failli chialer. Ce circuit populaire voulu par un bienfaiteur du sport mécanique est tombé entre les griffes du vilain gnome Ecclestone. Dommage, parce que c’était un circuit magnifique, accessible financièrement pour y rouler, et les Bols d’Or et Grands Prix étaient de vrais retrouvailles pour 80000 motards européens. Je me souviens des habitants des villages que nous traversions, au bord de la route, ou sur les ponts d’autoroute, qui venaient voir passer des milliers de bécanes et d’engins déments. Quelle ambiance ! L’abandon de ce circuit entre des mains étrangères est encore un aveu du désintérêt de nos autorités pour la chose mécanique, et je n’ai plus envie d’y mettre les pieds, ou les pneus. |