Sujet

Antonin
le 1er septembre 2015 à 18:32

Le nombre de permis moto obtenus en chute de 7,6 % en France

Le nombre de permis moto obtenus en France en 2014 a chuté de 7,6 %, d’après l’Officiel du cycle. La catégorie A2 et celle des femmes sont néanmoins en croissance.

Lire l'article
Tous les messages

Gallinéo

le 7 septembre 2015 à 11:59

Le nombre de permis moto obtenus en chute de 7,6 % en France

Ils commencent a nous les briser menu, ces cons là.

Répondre à ce message

TGV66

le 3 septembre 2015 à 16:44

Le nombre de permis moto obtenus en chute de 7,6 % en France

"Le cynisme vous rend prolixe, chantons du Duteil, ça détend : " J’ai le clavier qui me démange, alors je tape un petit peu, ça me soulage dans les phalanges ...tralalala lala !!!!"."

C’est juste un moyen supplémentaire de communication et de dialogue. Le clavier n’empêche pas la rencontre ni l’implication.

"Je vous le chante en court : je préfère l’autonomie à une hétéronomie chapeautée par l’état, ..."

À mon sens, ce n’est pas de l’autonomie, mais plutôt de la solitude face à un système de plus en plus répressif. Quant à l’état, il ne nous appartient pas, et même serait il sous contrôle citoyen, nous ne pourrons jamais, à mon sens, nous passer de contraintes.
Pour citer Jean-Louis Barrault : "La liberté, c’est la faculté de choisir ses contraintes."

"Le contrôle technique motard existe, cela s’appelle la visite médicale, obligatoire pour certains permis (je la passe tous les cinq ans pour le Eb), et contrainte avec obligation de soin en cas de retrait de permis...."

Répression. D’autres solutions existent. À quoi mène ce système, entre autre ? À ce qu’un nombre de plus en plus important de personnes roulent sans permis. Les statistiques existent certainement, nous ne les connaissons pas, j’ai pour ma part entendu le chiffre de 1 million de personnes en France roulant sans permis (et sans assurance vraisemblablement). Cela laisse rêveur. Je me demande comment cela se passe quand tu es impliqué dans un accident avec une telle personne.

"V motard... (je ne sais pas si Yves a fait une chanson sur nous, héros méconnus au grand coeur, roulant Harley, je la siffloterai trois fois en ne craignant plus personne)."

Bonne route à toi. J’aime la moto et les motards, car sous leurs diverses apparences (la différence est belle), souffle un air de liberté.

Répondre à ce message

Anonyme

le 3 septembre 2015 à 14:50

Le nombre de permis moto obtenus en chute de 7,6 % en France

Le cynisme vous rend prolixe, chantons du Duteil, ça détend : " J’ai le clavier qui me démange, alors je tape un petit peu, ça me soulage dans les phalanges ...tralalala lala !!!!".
Je vous le chante en court : je préfère l’autonomie à une hétéronomie chapeautée par l’état, merci les transports en commun, pas de compétence particulière et à la portée de presque tous, que ce soit pour ma formation, merci l’AMDM, la connaissance de ma motocyclette, merci motomag et autres RMT, sinon je fais confiance à mon mécano (oups c moi), et la moto est une passion qui coute cher, donc non remboursé par la sécu et peu sociale, contrairement à ce qu’elle fût après guerre.
Le contrôle technique motard existe, cela s’appelle la visite médicale, obligatoire pour certains permis (je la passe tous les cinq ans pour le Eb), et contrainte avec obligation de soin en cas de retrait de permis....
V motard... (je ne sais pas si Yves a fait une chanson sur nous, héros méconnus au grand coeur, roulant Harley, je la siffloterai trois fois en ne craignant plus personne).

Répondre à ce message

TGV66

le 3 septembre 2015 à 12:13

Le nombre de permis moto obtenus en chute de 7,6 % en France

"vous êtes de ceux qui essorent de la poignée,"

Même pas, je conduis de façon apaisée, vous pouvez m’en croire. On peut aussi se faire plaisir en roulant doucement, je reconnais que ce n’est pas dans l’air du temps, hélas.

"la rhétorique de la formation par le radar ne passe pas." ?

Si vous voulez dire que je pense que la politique de répression routière est une ânerie, je suis d’accord avec vous. Pardon pour le terme "ânerie", l’âne étant un animal très sensible et très intelligent.

"Et si on instituait un contrôle technique motard pour évaluer ses compétences, sa formation, sa santé, sa vue... sans qu’il le fasse de lui même."

Le contrôle technique concerne des objets, et non des êtres humains. Vos propos me choquent un peu car vous semblez me prêter l’idée qu’un suivi médical est assimilable à un contrôle technique de véhicule. Je vous rassure, je ne pense pas du tout comme ça. Le suivi (vous noterez que je n’utilise pas le mot contrôle, je vous en laisse le soin) médical soutient l’idée que non, nous ne pouvons pas toujours, de nous même, être en capacité de savoir si nous sommes aptes ou pas à conduire. Pour tout un tas de raisons, quelles soient d’ordre médical, psychologique, sociétal.
Le suivi médical nous donne des cartes, objectives, pourrais je dire, d’être en capacité de savoir où nous nous situons par rapport à la conduite dans la collectivité. Quant à savoir quelles peuvent être les conséquences d’une incapacité à la conduite, je pense qu’elles dépassent le simple aspect moral lié à l’individu et qu’elles interrogent la société dans son ensemble : que devrait être la réponse des pouvoirs publics face à celui ou celle qui ne peut plus conduire ?

"Et pourquoi pas un contrôle technique pour sa moto, puisque apparemment il montre une totale incapacité à évaluer l’état de sa machine".

Non, nous ne sommes pas toujours en capacité d’évaluer par nous mêmes l’état technique de notre véhicule. Surtout quant à considérer l’évolution technologique qui nous dépasse bien souvent. Nous ne sommes pas toujours non plus aptes financièrement à supporter le coût d’une réparation. Prétendre le contraire serait au mieux afficher une totale naïveté, au pire une vaste hypocrisie.
Le problème du contrôle technique ne se situe pas sur le plan technique du véhicule, c’est bien là le grand foutage de gueule du système, dont nous sommes les victimes. En d’autres termes, le contrôle technique n’a pas été institué pour assurer au mieux une certaine sécurité technique lié à l’état des véhicules (ce qu’il devrait être), non, il est surtout une forte contrainte financière imposée, dont vous comprenez bien que les plus faibles d’entre nous, celles et ceux qui ont un besoin vital de leur véhicule pour aller travailler, en supportent les conséquences les plus graves.
L’idée de contrôle technique ne me débecte pas en soi. Ce qui me révolte, c’est qu’il soit payant et surtout, qu’il ne fasse absolument aucun lien entre l’état technique d’un véhicule et l’effort financier que représente ce véhicule pour son propriétaire.

"Mais bon l’état vous a entendu, Emmanuel Macron en particulier puisque vous avez droit à l’accès à la mobilité, et cela de manière plus sûre, les chiffres de l’accidentologie le prouve, l’autocar est plus sûre que la moto, ou alors le métro, moins polluant."

Quel sens de l’humour ! Si ce n’en est pas (et je n’ai pas l’impression que cela soit le cas), je tiens à vous dire ceci. Si vous pensez que la loi Macron, à travers la mise en place de relations routières de longue distance, favorise la mobilité, laissez moi doucement rigoler (je reste courtois).
La mise en place de telles relations par la route aura pour conséquence la suppression d’un grand nombre de relations ferroviaires, qui elles, assurent un maillage bien plus serré du territoire. la loi Macron, entre autres funestes conséquences pour les humbles citoyennes et citoyens que nous sommes, dégrade de façon manifeste l’accès à la mobilité, qui est un pilier de la République.
Quant à l’aspect écolo et sécurisant du bus ... Marrantes vos réflexions, si elles n’étaient pas dramatiques.

"Allons reprenons tous en cœur : "Prendre un motard par la main...""

Reprenez tout seul, je n’aime pas Duteil. Mais après tout, c’est votre droit le plus strict que de l’apprécier.

Répondre à ce message

Anonyme

le 3 septembre 2015 à 08:22

Le nombre de permis moto obtenus en chute de 7,6 % en France

Yves Duteil chantait : "Prendre un motard par la main...", à lire votre pseudo, vous êtes de ceux qui essore de la poignée, la rhétorique de la formation par le radar ne passe pas. Et si on institué un contrôle technique motard pour évaluer ses compétences, sa formation, sa santé, sa vue... sans qu’il le fasse de lui même. Et pourquoi pas un contrôle technique pour sa moto, puisque apparemment il montre une totale incapacité à évaluer l’état de sa machine.
Mais bon l’état vous a entendu, Emmanuel Macron en particulier puisque vous avez droit à l’accès à la mobilité, et cela de manière plus sûre, les chiffres de l’accidentologie le prouve, l’autocar est plus sûre que la moto, ou alors le métro, moins polluant.
Allons reprenons tous en coeur : "Prendre un motard par la main..."

Répondre à ce message

TGV66

le 1er septembre 2015 à 22:58

Le nombre de permis moto obtenus en chute de 7,6 % en France

À quand un permis gratuit, permettant de bénéficier d’une formation bien plus pertinente ? Le permis n’est pas qu’un droit de conduite : il est un véritable outil de travail et devrait être considéré comme tel.
À quand une formation continue tout au long de sa vie de conducteur(trice) ? La législation routière, le matériel évoluent sans cesse, vers toujours plus de complexité.
À quand un véritable service public, pris en charge par la communauté ? Des instructeurs, certes compétents, mais enfin libérés de l’environnement marchand.
À quand un véritable suivi médical tout au long de sa vie de conducteur ? Notre corps évolue avec l’age, le travail. Pourquoi ne le reconnait on pas ?
Le droit à la mobilité est inscrit dans notre pacte social, dans notre constitution.

Répondre à ce message