Sujet

Nicolas
le 6 février 2015 à 12:00

Circulation à Paris : « je préfère parler de restriction que d’interdiction »

Dans une interview à Motomag.com, l’adjoint au maire de Paris chargé des transports, Christophe Najdovski, tente d’expliquer la politique de circulation dans la capitale qui sera proposée au Conseil de Paris le 9 février. Et assume les menaces qui pèsent sur les véhicules les plus anciens.

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Anonyme

le 8 février 2015 à 18:28

Circulation à Paris : « je préfère parler de restriction que d’interdiction »

Et le parc de véhicules utilisés par la collectivité, il est aussi entièrement électrique ?

Stéphane

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Anonyme

le 7 février 2015 à 20:30

Circulation à Paris : « je préfère parler de restriction que d’interdiction »

Je vais revendre ma Clio essence de 1994 pour acheter une Clio diesel de 1997 comme ça j’aurai le droit de rouler ! :-)

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Franck Z

le 7 février 2015 à 19:13

Circulation à Paris : « je préfère parler de restriction que d’interdiction »

Ce mec est une vraie honte, un véritable promoteur de l’apartheid ! En banlieue les pauvres bons a s’entasser dans les transports en commun sous équipés. Les riches bien au chaud dans Paris. Voilà le mec qui fait le plus de mal à la majorité qui gère la ville ! On finirait par regretter Chirac… !

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TGV66

le 7 février 2015 à 17:16

Circulation à Paris : « je préfère parler de restriction que d’interdiction »

Écœurant, tout simplement. Pas un mot pour les plus modestes d’entre nous : son mépris dépasse ici la dialectique motard/non motard.
Ce type ignore tout ce que peut être la désespérance sociale. En prime, et c’est le comble pour un représentant d’EELV, il n’a pas un mot pour les transports en commun, car c’est là où réside la solution.
Un écologiste de bazar, particulièrement apte à promouvoir les industries privées dont l’objectif n°1 est avant tout de faire du fric.
Sans compter que la voiture électrique dépend principalement du nucléaire et nécessiterait 100 milliards d’euros d’investissement pour être exploitable sur le territoire de la métropole. Le débat mériterait d’être ouvert en tout cas. Et il y a urgence !
Incarnation même du bobo, bien utile au pouvoir socialiste pour se maintenir en place, voilà à quoi l’on peut résumer ce personnage inexistant, emblématique de l’oligarchie arrogante que l’on a installée au pouvoir.
Quand on voit ce que devient la défense de l’environnement et la transition énergétique sous ce gouvernement, on ne peut qu’être saisi d’inquiétude, d’effroi (le mot n’est pas trop fort), devant la servilité chaque jour démontrée de nos élus (eh oui !) devant les puissances de l’argent.
Pour celle ou celui qui a la certitude fermement ancrée de considérer que l’"écologie" n’est pas au service des possédants, mais qu’elle est au contraire le destin par lequel l’humanité assurera sa survie en ce qu’elle a de profondément humain, il n’existe qu’un seul mot d’ordre : virer ces sinistres pantins par les urnes !
Les alternatives existent. A nous de les mettre en œuvre.

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Anonyme

le 7 février 2015 à 12:05

Circulation à Paris : « je préfère parler de restriction que d’interdiction »

Et voilà comment des courants minoritaires qui ne pèsent rien électoralement imposent leurs visions par le jeu de alliances politiques... les Khmer vert méritent bien ce sur-nom, et leurs idées n’ont rien de socialiste. Où c’est seulement pour répondre à un courant de pensée des Bobo Parisien.

Des aides 500€ pour des machines de 10000 € ? Mais mesurent-t-ils réellement où en sont les Français qui rament ? Par exemple certains banlieusard qui viennent vider les poubelles des bureaucrates parisiens pendant leurs sommeils... Il faut de tout pour faire un monde, même à Paris. Comment y font eux ? Monsieur le politique, développez une offre alternative accessible avant d’interdire... heu pardon de restreindre.

Et puis plus généralement réfléchissez à cela : Ce type d’interdit alimente la défiance du citoyen envers le politique, incapable de résoudre les vrais problèmes, champion pour en créer de nouveaux. Continuez continuez... quand l’unité national se fera contre vous... l’indicateur étant l’abstention aux urnes.

Bonne route amis motards

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Marcel

le 6 février 2015 à 20:46

Circulation à Paris : « je préfère parler de restriction que d’interdiction »

Pas besoin d’être encarté. Ce mec fout la honte, tout court ! Et en plus, c’est un nul. Je l’ai vu à une émission où il vantait les aides financières de la mairie de Paris sur l’électrique et l’hybride. L’animateur lui demande de rappeler ce qu’est un véhicule hybride. Gros blanc ! Il a du passer la parole à un autre intervenant. C’est un écolo dogmatique. Il ne réfléchit pas. Il est contre le moteur à explosion. Point barre.

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Rabah Kounine

le 6 février 2015 à 15:31

Circulation à Paris : « je préfère parler de restriction que d’interdiction »

Najdovski dit : "Notre objectif est d’accélérer le renouvellement du parc automobile"... et bin voilà, c’est dit.
C’est quand même bizarre, pour un mec qui se prétend écolo, de pousser à renouveler des véhicules. Y’a pas un de ses copains moins dogmatique que lui qui pourrait lui parler de la pollution industrielle des usines de bagnoles ? Et celle du transport des composants de ces bagnoles neuves ?

Et son électricité, il la fabrique comment ? En pédalant ? Quant à ses fameuses primes à l’achat de véhicules neufs, vélos à électrons et autres miracles parisiens, l’honnêteté devrait l’inciter à préciser que ses ristournes sont réservées... aux parisiens ! Alors que son plan de ségrégation spatiale va surtout impacter la banlieue, cet espace situé de l’aut’ côté du périph’ où nous sommes des millions à vivre et à essayer de nous déplacer.

Par ses certitudes bornées et sa vision parisiano-centrée, Najdovski nous rappelle l’origine du mot banlieue : le "lieu du ban", autrement dit la zone de bannissement.
Pffff... si j’étais encarté au PS ou à EELV, ce mec me foutrait la honte !

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Marcel

le 6 février 2015 à 14:13

Circulation à Paris : « je préfère parler de restriction que d’interdiction »

Ce type est imbuvable ! Et de mauvaise foi. Il rappelle : "D’après les normes Euro, les véhicules récents émettent beaucoup moins de pollution que les plus anciens. Des contraintes fortes ont été instaurées au niveau de l’Union européenne pour réduire les émissions.". Tout est dit. Alors quel besoin y-a-t-il de vouloir aller plus vite que la musique. Si ce n’est de vouloir profiter d’un rapport plus ou moins bidon de l’OMS sur le diesel, pour mettre en oeuvre son autophobie et motophobie patente. Ce mec tente par tous les moyens de dissuader les conducteurs de prendre leurs véhicules. Mettre s’il faut organiser pour cela une vraie casse sociale ! Réduction de la vitesse, plan de circulation imbittable, augmentation du stationnement, interdiction de circuler. Son argument sur Londres est des plus cyniques : il reconnaît à demi-mots que la question des 2RM n’est pas la pollution, mais il propose en filigrane le marché suivant : vous voulez circuler et bien payez ! Rien à voir avec la pollution. C’est la restriction de la circulation par tous les moyens, surtout financiers. Et ça se dit de gauche !?

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