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Nicolas
le 5 décembre 2014 à 16:21

Signalisation des radars sur Facebook : l’inutile condamnation

Des internautes qui signalaient l’emplacement des radars mobiles sur Facebook ont été condamnés à une suspension de permis de conduire d’un mois, à Rodez (12) le 3 décembre. La FFMC dénonce le piège du contrôle automatique.

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Anonyme

le 12 décembre 2014 à 06:57

Signalisation des radars sur Facebook : l’inutile condamnation

Les juges devraient s’auto condamner pour abus d’autorité.
Facebook n’est qu’un outil pas plus illégal que les appels de phare ; la seule condition est de na pas tapoter le texto en conduisant.

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Anonyme

le 7 décembre 2014 à 11:05

Signalisation des radars sur Facebook : l’inutile condamnation

Il semble que la "prévention routière" soit devenue un domaine de test pour le gouvernement... Tout ce qui se fait en matière de "sécurité routière" s’apparente davantage au despotisme et à la dictature (lois ineptes et infantilisantes, punitions par la répression plutôt que d’éduquer, ne laisser aucun libre arbitre ni aucune marge)...
A croire que nos gouvernants, soi-disant démocrates à la tête du pays des droits de l’homme, testent les Français pour voir jusqu’où ils vont être capable de renoncer à leur "liberté". Et jusqu’à présent ça marche ! A part les motards qui sont pour la plupart restés lucides, quels sont les usagers de la route qui réagissent ? Chaque fois que le gouvernement enfonce le clou, les "petits enfants français" acceptent bien sagement les règles avec les punitions qui vont avec. Aujourd’hui avoir le permis en France, c’est accepter de se plier , et renoncer à toute liberté chère à non concitoyens...
Quant à ce jugement des internautes il est encore plus stupide qu’à l’habitude...

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Marcel

le 5 décembre 2014 à 19:02

Signalisation des radars sur Facebook : l’inutile condamnation

"les pouvoirs publics avaient assuré que seule la mise en danger de la vie d’autrui influerait sur le capital points"... La bonne blague, et 3 points de moins parce qu’on ne porte pas sa ceinture ou son casque, c’est de la mise en danger de la vie d’autrui ? Les pouvoirs publics nous prennent vraiment pour des imbéciles. Ceci dit, on leur rend bien ! Et je pense que tout ça, plus la tentative de nous la mettre bien profond avec le 80 sur les routes, relancé à partir de janvier prochain, va lourdement peser sur les prochains résultats des élections. Il va falloir que le gouvernement finisse par choisir entre la folle Perrichon et 90 % de citoyens excédés par cette répression absurde. PS : "soustraction à la constatation des infractions routières", ça existe ça ? Et puis, comment savoir si sans ces bonnes âmes de Facebook, il y aurait quand même eu des infractions. J’espère bien que les petits plaisantins qui ont condamnés de braves citoyens pour une raison aussi délirante se feront atomiser en appel !

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Anonyme

le 5 décembre 2014 à 17:22

Signalisation des radars sur Facebook : l’inutile condamnation

Salut
Il serait également de bon ton de dénoncer les journaux qui , relatant l’affaire , ont systématiquement omis de parler du probable ,j’espère, appel des "condamnés".
Pourquoi pas une pétition ???

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Rabah Kounine

le 5 décembre 2014 à 16:40

Signalisation des radars sur Facebook : l’inutile condamnation

Salut,

France Wolf dit "il faudrait inciter tous les internautes à se dénoncer. Ça ferait une belle pagaille… ». Elle a raison ! C’est le mode d’action employé par les Faucheurs volontaires qui luttent contre les cultures OGM : pour quelques Faucheurs volontaires trainés en justice, tous les autres Faucheurs demandent à comparaître... et les juges se retrouvent face à leur encombrante responsabilité et surtout, face au jugement de l’opinion publique.
Ce mode d’action s’inscrit dans les préceptes de la "Désobéissance civique" prônés par l’américain H. D. Thoreau au siècle dernier et qui comprend notamment l’action à visage découvert et le refus de toute violence dans l’action.

Plus généralement, si les usagers de la route contestaient plus collectivement certains dispositifs juridiques mis en place au nom de la sécurité routière emballée par une propagande lénifiante et culpabilisante, de telles décisions de justice comme celle dénoncée dans cet article n’auraient pas encore été possibles.

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