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Fabien le 16 juillet 2014 à 17:35 |
« Trop vite, Trop tard » : la campagne estivale de la sécurité routière« Trop vite, trop tard », voilà la nouvelle campagne de la Sécurité routière pour cet été 2014. Un message de prévention contre la vitesse qui se diffusera sur tous les médias pendant la période estivale. |
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Phildub le 21 juillet 2014 à 09:56 |
« Trop vite, Trop tard » : la campagne estivale de la sécurité routièreUn accident qui se produit à la "seconde S" est du à de nombreux facteurs, il suffit que l’un de ceux-ci soit modifié pour éviter l’accident. Donc à l’inverse de se qu’on veut nous expliquer : il suffisait que l’un des deux véhicules augmentât sa vitesse suffisamment et l’accident était évité, puisqu’il n’était plus au carrefour à la seconde S. |
Anonyme le 20 juillet 2014 à 19:20 |
« Trop vite, Trop tard » : la campagne estivale de la sécurité routièreQue Vals montre l’exemple, il veut nous faire rouler à 80 et lui roule en se fichant des limitations ainsi que Montebourg et certainement d’autres aussi . On dit que l’exemple vient d’en haut !!! |
Anonyme le 20 juillet 2014 à 09:50 |
« Trop vite, Trop tard » : la campagne estivale de la sécurité routièreheeeu....!!!!! comment dire , la cause de (des) l’ accident n’est pas la vitesse non ? c’est un refus de priorité pour l’un et un grillage de stop pour l’autre....( ou presque ) La vitesse dans ces vidéos n’est qu’un facteur aggravant . Le grand responsable dans ces deux cas est le manque d’observation et d’analyse. Circuler demande beaucoup de concentration et j’observe de plus en plus cette espèce de j’men foutisme sur les routes : je double et je me rabat dans la distance de sécurité, je passe au stop sans attendre que la voiture qui arrive passe et que derrière elle il n’y a personne, voir, je passe au moment presque ou elle est sur moi ( " il va ralentir " ) un peu comme les poids lourds qui justement profite de leur statut pour s’engager sachant qu’ils ne risquent rien. Il serait intéressant de connaitre a chaque accident sa cause et je pense que la cause première n’est pas la vitesse. |
Ternet le 19 juillet 2014 à 20:39 |
« Trop vite, Trop tard » : la campagne estivale de la sécurité routièreC’est fatiguant cette propagande contre la vitesse tueuse. D’après la "pubragande", le conducteur roulait trop vite. Bel argument. S’il avait roulé plus ou moins vite à ce moment précis, tout allait bien, pas d’accident. Comment fait-on pour changer cette pensée unique et enfin responsabiliser les gens au lieu des les faire chier avec des normes restrictives débiles et improductives ? Rouler vite ne tue pas. Apprendre à conduire (piloter ?) sauve des vies. "France, le pays des conducteurs maitrisant leur véhicule." T’as même plus besoin de radars, ils peuvent passer à ... Wouahou ... au moins 61km/h en courbe en toute sécurité ces gens qui savent conduire. Plop ! C’est quoi ce cauchemar ? |
Phildub le 17 juillet 2014 à 14:21 |
« Trop vite, Trop tard » : la campagne estivale de la sécurité routièreSuis d’accord avec Fred, la cause principale de l’accident, dans ce spot, c’est le non respect du stop. Il eût été plus intelligent de créer une vidéo montrant qu’il vaut mieux adapter sa vitesse aux conditions de circulation. Je vois un véhicule susceptible de couper ma route, je me méfie, je ralentis. La différence est grande entre "la vitesse" et "une conduite adaptée". |
FRED le 16 juillet 2014 à 23:47 |
« Trop vite, Trop tard » : la campagne estivale de la sécurité routièrele souci, c’est que ce spot peut être interprété de plusieurs façons, et notamment : "grillez les stops, si y’a un accident, c’est forcement la faute de celui qui n’a pu vous eviter." |
Marcel le 16 juillet 2014 à 18:50 |
« Trop vite, Trop tard » : la campagne estivale de la sécurité routièreCommencent à nous courir sur le haricot, ceux-là ! A peine l’épisode calamiteux du 80 sur les routes réfermé (mais pour combien de temps ?), les pontes de la SR reprennent les vieilles antiennes ! La vitesse, la vitesse, la vitesse, crient-ils en sautant comme des cabris ! S’ils veulent devenir crédibles, il serait temps de changer de disque, et d’éviter de nous la jouer papys radoteurs, à deux doigts de sucrer les fraises ! |