Essai Yamaha SR 400 : mono-école

Un comparatif entre la Yamaha SR400, la Mash 250 TwoFifty et la Royal Enfield Bullet ou Continetal GT serait bien utile et très intéressant.

En virant ce pot trop castrateur avec sa sonde, on peut facilement gagner une dizaine de CV bienvenus !

a ce tarif la , la décense minimum eut été de le sortir en 500 ! deja qu ’il n’était pas foudroyant dans cette cylindrée , mais alors en 400 ! et je parle bien la de sensations , les perfs on s’en fout .

Belle machine.
J’apprécie qu’elle soit doté d’un tableau de bord simple et lisible.

Trés belle machine, vu chez mon cc.
Bien fini et qui nous rajeunis de 30 ans.
Dommage qu’à 6000€, elle soit un peu chére.
Aprés, faut voir avec négociation du tarif et(ou) accessoires.

Un truc qu’on peut pas enlever aux japonais, c’est que c’est eux qui ont amené la fiabilité. Pas forcément synonyme de longévité, suivant les modèles. Mais évidemment, plus un moteur tourne vite, moins il risque de durer.
La XT et la SR nous auront bien transportés, les XLS aussi. Toujours aussi sympat ce SR, revoir un kick fait plaisir, encore plus un jour de batterie déchargée !
A ce tarif ce devrait être un 600 plus respirant qui permette de retrouver le "poum poum" et le coup de pied aux fesses si enthousiasmant d’il y a 30 ans :-) ...avec 2 disques et suspenses de qualités.
Ce modèle s’étant bien passé de notre marché durant 19 ans, Yam ne se foule pas, une niche sans risque qui ramènera toujours un peu d’argent de poche..

QUID de la fiabilité entre une Yamaha SR400 et une Royal Enfield Continental GT ? A ce niveau, apparemment, la japonaise a l’avantage...