Boîte noire dans les véhicules : la Moselle candidate à un test

Filer à l’ église est en effet une possibilité, je pense néanmoins qu’il est est peut-être aussi une autre à ne pas négliger : celle de retourner à l’’auto-école. :-)

Pas "des anonymes", "un"...

Et tu oublies que F Weill a pris la précaution d’employer le conditionnel :
"pourrait légitimement être considérée ".

Quand on lit, il faut prendre le temps de tout lire et de noter avec attention les mots et le temps du verbe employé..

"pourrait légitimement être considérée comme responsable" ne veut nullement dire "est responsable".
C’est évoquer une possibilité sans être une accusation.

S ’il m’arrive de de ne pas être d’accord avec F. Weill sur certaines choses , je le dis et de façon signée par un pseudo.

Par contre je ne suis pas d’accord avec le procès en diffamation que des anonymes se permettent de faire à F.Weill.

"Dans ces conditions, le délit de diffamation s’éloigne à grande vitesse..."
Ce serait à la Justice d’en décider, pas à vous, M. le juriste de comptoir. En tout état de cause, tous les éléments sont réunis pour que la plainte soit déjà jugée recevable. Sur ce, je vous laisse à vos chères études de forum...

Par ailleurs, aucune information n’existait à l’époque sur le port de la ceinture de sécurité à l’arrière pour les enfants et sur le fait qu’il était préférable de la leur faire porter même si elle n’était aucunement adaptée à leur morphologie (que la ceinture soit à 2 ou 3 points).
D’ailleurs, la ceinture 2 points longtemps en usage à l’arrière a été interdite car elle peut entraîner, chez les enfants dont la morphologie diffère de celle de l’adulte, des ruptures de la moelle épinière. La question de la légitimité de la ceinture de sécurité à l’arrière pour les enfants était alors pertinente en l’absence de toute information "officielle" sur le sujet.
Avant de formuler des accusations, il est bon d’essayer de s’informer sur le contexte de l’époque, MM. Weill comme l’anonyme de 18:18 à qui je retourne donc le conseil de s’informer avant de déblatérer.
Sujet clos.

"Il y a bien diffamation"

Ca, c’est à la Justice de le dire (sous réserve que Mme Jurgensen porte plainte), pas à toi, monsieur le "donneur de leçons de droit"...

Relater des faits et mettre en cause une personne en la considérant comme "la véritable responsable" sont deux choses passablement différentes. Or M. Weill n’a pas simplement relaté des faits, évoqué une éventuelle part de responsabilité morale (à défaut évidemment d’être juridique) mais a désigné la mère comme "la véritable responsable". La diffamation n’est pas si loin que vous le croyez.

Non, l’anonyme de 18:18. Il y a bien diffamation puisque le sieur Weill a parlé de responsabilité principale ("la" responsabilité). Hors,en substance, ce n’est pas le fait de ne pas être attaché qui a provoqué le choc à l’origine de ces décès. Vous avez visiblement une connaissance approximative de la notion de responsabilité pénale
M. Weill ne rapporte pas des faits connus de tous mais se permet une accusation qui, ne vous en déplaise, relève bien de la diffamation telle que la définit le code pénal.

Ha ! L’anonyme n°2 (18h18) a été plus rapide que moi, notamment sur le fait que ce que rapporte M Weill est « factuellement exact » et en même temps qu’il « n’est pas possible d’imputer une quelconque responsabilité juridique à Mme Jurgensen » puisque l’obligation du port de la ceinture à l’arrière des véhicules n’était pas encore d’actualité ! Je ne vois rien à ajouter, vos commentaires, anonyme 1 et 2, se complétant dans l’ensemble. Toutefois, effectivement, au vu de vos informations sur la divulgation par l’intéressée des circonstances de l’accident, on commence à s’éloigner comme vous dites du délit de diffamation…

Donc acte. L’accident date d’ailleurs de 1980 et non de 1983. Et si les ceintures de sécurité à l’arrière venaient tout juste d’apparaître sur les modèles neufs, elles n’étaient nullement obligatoires. Aucune campagne n’avait jusqu’alors recommandé d’attacher les enfants à l’arrière dans ces nouveaux modèles, d’autant que ces ceintures non adaptées aux enfants apparaissaient légitimement comme extrêmement dangereuses dans les petits passagers en cas de choc. Et il aura fallu attendre près d’une décennie pour que son port devienne obligatoire à l’arrière.

Si je puis me permettre d’apporter une rectification à la rectification : ce qu’a rapporté François WEILL est factuellement exact. Le fait est que les enfants auraient pu être attachés. Le fait est que leur mère ne l’a pas souhaité. Le fait est que ce n’est pas elle qui conduisait la voiture. Le fait est que les enfants ont été éjectés lors de la collision.

Il n’est pas possible d’imputer une quelconque responsabilité juridique à Mme Jurgensen puisque en 1980 (année de l’accident et non pas 1983, qui est la date de la création de la LCVR - on pourrait ainsi retourner, à l’anonyme, le conseil qu’il donne à François WEILL, d’éviter de raconter n’importe quoi), aucun des dispositifs qui auraient pu sauver ces enfants n’était en effet obligatoire.

Mais la responsabilité morale qu’elle a ressentie a compté pour beaucoup dans sa décision de fonder la LCVR.

Tous ces éléments ont été portés à la connaissance du public de l’époque, par l’intéressée elle-même.

Dans ces conditions, le délit de diffamation s’éloigne à grande vitesse...

Monsieur le Modérateur,

Vous feriez mieux de vous renseigner car si l’obligation de ceinture arrière n’existait pas le véhicule en question en était bien équipé et elle a refusé de s’en servir. Ce qui est de notoriété publique et a déjà été publié sur nombre de forums y compris celui-ci...

Sans faire l’objet de protestation et encore moins d’action en justice de la part de la personne mise en cause d’ailleurs.

François P. WEILL

Bonjour,

Effectivement, je n’avais pas vu la teneur du propos : M Weill (qu’il m’excuse) ayant tendance à être des plus prolixes dans la plupart de ses commentaires, j’avoue ne les lire qu’en diagonale. Si j’avais vu le propos avant votre réaction, j’aurais très probablement supprimé le commentaire. Cependant, votre réaction apportant des précisions propres à rectifier les affirmations de M Weill, je préfère laisser publiés le commentaire incriminé et sa rectification par vos soins.

Merci de votre vigilance.

Bien sûr que non, ce n’est pas le vrai but. Le vrai but, plus ou moins avoué (ce qui montre le malaise grandissant de l’administration sur ces sujets) c’est d’accroitre la pression psychologique pour faire rouler les gens encore moins vite. L’étape prochaine, dans la tête de nos zélotes zélites, c’est le LAVIA.
Sous réserve qu’on continue de se comporter comme des veaux bien sûr.
Ce qui n’est pas garanti non plus !

C’est une simple question de temps. D’ailleurs de tels systèmes existent déjà depuis longtemps sur certains véhicules sans que les acheteurs ne le sachent forcément...

"La L.CV.R. dont la créatrice - Geneviève Jurgensen - pourrait légitimement être considérée comme la véritable responsable du décès de ses gosses pour avoir refusé des attacher en place arrière."
Cet accident date de 1983, la ceinture de sécurité à l’arrière n’est devenue obligatoire qu’en 1990. Quant au siège pour les enfants de moins de 10 ans,, il est obligatoire en France depuis le 1er janvier 1992 seulement.
Par conséquent, M. Weill ferait mieux de se renseigner avant d’écrire n’importe quoi et surtout de tenir des propos qui relèvent du délit de diffamation. Je suppose d’ailleurs que le modérateur n’a pas eu connaissance du contenu diffamatoire de ce post et qu’il saura donc agir en conséquence.

Modérateur !!!!! Peut-on effacer les 3 posts ci-dessus avant que la SR ne nous pique nos bonnes idées ? :-D

Mais cette facheuse tendance à la big-brotherisation n’est-elle pas déjà le signe que les politiques ont déjà peur des gens ?

Et j’ajouterai :

Contrôle automatique du conducteur.
 carte bleue approvisionnée, car prélèvement automatique des PV.
 solde points positif.
 coupure automatique de l’injection dés que le solde de points arrive à zéro, tout comme celui de la carte bleue.

Il n’y pas pas qu’une question de temps, il y a aussi une question de résistance de notre part, si nous manifestons fermement notre opposition et notre refus d’acheter ces véhicules, les constructeurs y réfléchiront à deux fois.
Un combat n’ est perdu d’avance que si nous avons décidé de baisser les bras.