Toulouse : la voiture radar de gendarmerie fait du bike-jacking

ou en est l ’affaire ?
Pour le pneu usé , est ce qu ’on peut le voir sur un véhicule roulant ? !
donc ce n ’est pas un argument pour déclancher l ’intervention ...

Ce genre de réflexion me fait toujours sourire...

Ni les uns, ni les autres dans le choix de la vitesse n’étaient des criminels.

En effet, à supposer que les gendarmes n’aient pas envoyer au tapis le mec par une manœuvre douteuse, il n’y aurait pas eu d’accident, donc rouler à 180 à cet endroit, à ce moment, n’était pas dangereux en soi. C.Q.F.D.

Ce qui montre bien qu’il n’y a PAS de valeur numérique de la vitesse - sous prétexte qu’elle soit fixée par une réglementation comme plafond - qui corresponde systématiquement à une mise en danger de la vie d’autrui ou un danger particulier...

A bas les limitations de vitesse généralisées !!! Respect du code originel demandant la maîtrise du véhicule, éducation des conducteurs pour savoir estimer la vitesse à pratiquer en temps réel... Tels devraient être depuis longtemps nos slogans - les seuls efficaces contre la "Sécurité Rentière".

François P. WEILL

Puisque tu nous causes "sanction" : c’est 124 km/h et pas 138 (la vitesse retenue pour la sanction n’est pas celle qu’on lit sur le radar) !
Ce n’est pas un délit (même à + 48, ce ne serait pas un délit), encore moins un crime, tout juste une contravention.
Faudrait voir à pas raconter n’importe quoi !

à quelle vitesse roulait les gendarmes pour rattraper un véhicule qui roule à 138km/h ? 160-170...180 km/h sur un tronçon à 90 km/h ? c’est pas criminel ça ???

Crois-tu vraiment qu’il faille répondre à ce genre de message...

"Don’t feed the troll !" (en anglais dans le texte)

Une vitesse EXCESSIVE par rapport aux circonstances peut tuer (soi-même, les autres ou les deux).

Un "excès de vitesse" par rapport à une réglementation ne peut faire de même que s’il aboutit AUSSI à une vitesse excessive pour les circonstances du moment. Était-ce le cas ?

La seule infraction réelle et indiscutable A LA SÉCURITÉ (et pas seulement au code) du motard en question, selon ce que nous savons, c’est d’avoir rouler avec un pneu usé.

En tout cas l’auteur du message originel est vraiment le proto de l’intoxiqué de la propagande de la S.R. (ou il cherche un poste à la DSCR).

François P. WEILL

Il faut arrêter de dire n’importe quoi !
Un excès de vitesse de 48 km/h tel qu’il est décrit dans l’article n’est pas un délit et encore moins un crime : c’est une infraction.
Ce n’est pas pour ça qu’il faut le faire, mais n’empêche que le conducteur de la moto n’est ni un délinquant ni un criminel dans ce cas précis, c’est juste un contrevenant.
Faudrait pas trop pousser l’intégrisme sécuritaire trop loin quand même !

Je suis d ’accord et je propose pour continuer ton raisonnement de placer au bord des routes des tireurs d ’élite ( des snippers ) afin d ’abattre tous les délinquants ...

En premier lieu, le délinquant c’est le motard en gros excès de vitesse... 138 km/h au lieu de 90 km/h, c’est criminel un point c’est tout !!!

Ben justement là dessus je ne suis pas d’accord...

Car sans le vouloir, en raisonnant ainsi, tu justifies la primauté à la perception d’une amende sur la protection des autres usagers.

Si le type zigzaguait en permanence à haute vitesse au risque de mettre au tas d’autres gens, ce dont je doute pour une moto soit dit en passant, mais que j’ai déjà observé de la part de quelques conducteurs de B.A.R. (comme d’ailleurs, sans faire intervenir obligatoirement la vitesse, si le comportement d’un conducteur apparaît manifestement comme lié à un plus que probable état d’ivresse) je pense au contraire qu’il faut intercepter pour mettre fin au danger et que c’est bien plus important que l’amende. Bien entendu cela doit se faire sans mettre en danger les autres et autant que faire se peut sans mettre en danger l’infractionniste qui n’est pas un "dangereux criminel psychopathe"... contrairement à la propagande de la L.C.V.R..

Moralité : je suis pour la (re)création d’une police de la route DÉPOURVUE DE RADAR mais pourvue d’une très solide formation à la vraie sécurité exempte de dogmes "rentiers" et ayant pour but non de sanctionner à tout va mais de prévenir, protéger et aider les usagers avant tout pour laquelle l’interception ne s’impose que si la sécurité des usagers est menacée et que cela peut se faire sans introduire un danger plus grand qu’elle n’est censée éviter. La sanction - si elle a lieu d’être - ne devant intervenir qu’en dernier recours et être considérée comme l’échec d’une politique de prévention et de formation chez un individu donné.

J’ajoute que les patrouilles motos d’avant la limitation généralisée tenaient en général fort bien ce rôle... Mieux que les radars planqués dans des véhicules banalisés ou que les bandits manchots au bord des routes en tous cas. D’autre part, la présence d’uniformes avait un effet dissuasif contre les VRAIES CONNERIES que serait bien en peine d’avoir un véhicule banalisé orienté respect des limitations qui n’est qu’un piège à pognon.

François P. WEILL

Surtout qu’arrêter un contrevenant pour un excès de vitesse qui ne peut donner lieu à retrait de permis immédiat est très très con, d’autant qu’ils avaient noté sa vitesse sur leur radar...

A moins que leur radar ne fonctionnait pas ou n’était pas réglé sur le bon seuil et donc ils ont voulu l’arrêter pour lui coller un PV d’une autre manière.

C’est clair qu’on aimerait bien avoir un début d’explication des flics... En tout cas, ils mettent du temps pour préparer leurs justifications.

Avis partagé.

V d’un autre Guzziste.

Commentaire empreint d’humanité qui en dit long sur ta mentalité, monsieur l’ Infaillible.!

L’article relate une situation assez confuse. Le motard reconnaît sa vitesse excessive, explique qu’il n’a pas identifié des gendarmes et affirme avoir été balancé par un coup de volant. De l’autre côté, aucune réaction de la Gendarmerie...Le silence est d’or, mais cela peut laisser libre cours à toutes les suppositions concernant l’action des gendarmes. Il est vrai que certains gendarmes ou policiers, un peu trop excités par l’aubaine, oublient toute clarté dans leurs intentions. J’en parle en connaissance de cause.

Il y a 4 ans, sur autoroute, j’ai été rattrapé par deux gendarmes à moto. Je roulais à 160, par beau temps, quasiment aucun trafic. Le premier des deux s’est mis à ma hauteur, m’a regardé, a pointé ma moto, puis a fait un pouce levé. J’avoue avoir pensé qu’il me taquinait, du style "elle marche bien, ta vieille, mais tu vas nous suivre." Le second arrive à ma hauteur, et fait un grand moulinet du bras gauche en me regardant, du style, "suis nous", avant de filer comme une balle... Je savais que j’étais en excès de vitesse, mais je ne comprenais pas pourquoi ils ne m’ont pas demandé de m’arrêter immédiatement. J’ai donc continué à 130, et j’ai retrouvé les deux gendarmes arrêtés sur une zone de dégagement, quelques km plus loin. Par acquis de conscience, je me suis arrêté. Les mecs ont été surpris et m’ont demandé pourquoi je m’arrêtais. Je leur ai dit que je n’avais pas compris leurs signes. Le premier a éclaté de rire et m’a dit : " Avant de partir de la brigade, j’avais dit à mes potes que je voulais acheter une Guzzi California, et je tombe sur vous. Je voulais dire que votre moto marchait bien." Et le second d’ajouter : " ici, on n’arrête jamais les motards". Ensuite, nous avons discuté moto. Ma situation est donc à l’inverse de celle du motard de Toulouse, mais je souhaitais mettre en évidence que l’on peut mal interpréter des gestes ou attitudes des forces de l’ordre. En l’occurrence, les gendarmes qui ont intercepté le motard n’ont, peut-être, pas su se faire identifier clairement, le mec a eu peur de se faire agresser, et il a filé.

Par ailleurs, si le motard a chuté à cause d’un coup de volant, deux cas. Coup de volant volontaire, et c’est criminel ; coup de volant sans volonté de faire tomber le mec, et c’est une faute de conduite. De toutes les façons, des gendarmes qui prennent en chasse un véhicule à vitesse élevée se doivent de respecter une distance de sécurité de façon à arrêter le gars sans casse pour quiconque.

Toutefois, je ne comprends pas pourquoi les gendarmes ne se sont pas contentés de noter la plaque d’immatriculation. Engager une course-poursuite au milieu de la circulation pour constater un excès de vitesse est disproportionné vu les risques d’accident avec d’autres véhicules. Sans connaître le code de la gendarmerie, il me semble que les actions menées doivent l’être sans perdre de vue que la vie doit être préservée.

Une explication des forces de l’ordre serait la bienvenue pour avoir un autre éclairage sur les événements.

Ne confondons pas tout :

"Excès de vitesse" oui par rapport à la loi (fait juridique), mais vitesse excessive, ça reste à démontrer (fait tout court, dépendant étroitement des circonstances)

Pour que l’interception soit justifiée dans le cadre actuel, il faudrait que l’excès de vitesse mette DANS LES FAITS en danger les autres.

De toutes façons, il est inadmissible qu’on permette à des agents de la force publique d’intervenir en véhicule banalisé sans se signaler comme tels et qu’on monte le bourrichon des dits agents avec toutes les conneries habituelles de la S.R. sur la vitesse au point qu’ils se permettent ce genre d’intervention.

Plus encore que la sanction méritée des personnels en cause (si la version du motard se vérifie) c’est toute une politique répressive imbécile qu’il faudrait sanctionner !

François P. WEILL

abruti, abruti ... il devrait y avoir plus de miroirs chez toi !
Il a joué, il a perdu ... dans l’absolu pourquoi pas ... mais dans ce jeu la sanction n’est pas de finir au tas mais plutôt de sortir le porte-feuille

PS : tu n’as pas du fréquenter les bancs des facultés de droit non plus

Voilà, c’est ce que je voulais dire, 110 moins 10%, ça fait 99, pas de quoi entamer une course poursuite, même à 124 retenus d’ailleurs.

Pourquoi n y a t il pas de réponse des gendarmes ?Peut etre ne sont ils pas tres propres dans cette histoire...

oui,ils se sont dit qu’avec seulement 2 roues motrices, ils auraient 2 fois moins d’accidents ;-)

Et puis s’ils les plantent, ça fera marcher les usines françaises...

Un peu comme les pilotes spécialement formés pour intervenir sur les délits de grands excès de vitesses.
Ils ont percutés combien de véhicules quand ils ont planté les Subaru à réaction ?
Ce sont les mêmes à qui on a confié les meganes de course qui les remplacent ?

Ta dernière phrase pose quand même question.
Quelle que fut la vitesse du motard en infraction, vu qu’il s’agissait d’une voiture équipée d’un radar mobile-mobile, ils avaient déjà la photo de sa plaque.
Aucune raison de jouer les "cow boys" .