BD : "Je veux une Harley tome 2", les premiers extraits !

Attention, on juge une BD sur son ensemble, pas sur quelques pages.
J’avais bien aimé le premier tome, j’ai donc acheté le second.
Je trouve qu’il est assez bien équilibré : à la fois de l’humour et effleure certains aspects moins drôles de certains clubs.
Ne fait ni dans les "bisounours" ni dans le pseudo scoop "gangs de bikers US" façon"enquête exclusive".

J’attends donc le 3 ème tome.

ex possesseur de sporster et de wild star , je trouve que le trait n’est absolument pas grossis et est tres représentatif du milieu . des gens sympas , bien sur il y en a , mais aussi beaucoup d’individus qui se la pétent et qui se croient dans un film , ce qui ne serait pas grave et méme amusant si ça ne s’accompagnait pas d’un mépris systématique des "guignols" en "riz-cooker" , comprendre des autres motards en japonaises , ce qu’ils étaient d’ailleurs eux méme il y a peu pour la plupart . Mais qu’on se rassure , chez les nouveaux BM’istes et leurs montures a 20 000 E c’est encore pire !.

Pas vraiment d’accord sur le côté plat et insipide quand on parle de la B.D. elle-même...

C’est effectivement une peinture d’un certain milieu (et qui, je le précise, n’est absolument pas représentatif de l’ensemble des harleyistes, que je connais un peu même si je n’ai jamais eu de Harley moi-même... Il en est beaucoup qui ne sont ni des voyous sur deux roues, ni des frimeurs de bistrot).

Le problème pour moi, qui l’an prochain entrera dans le monde "enchanté" des sexagénaires, c’est que les préoccupations des "bobos urbains friqués" qui veulent paraître toujours "d’jeunzs" et "rebelles" (de salon), j’ai une grosse tendance à m’en tamponner le coquillard !...

Pourquoi ? parce qu’ils sont EUX plats et insipides... Parce qu’ils dictent aussi sur bien des points les modes, les idées à deux balles et même souvent les taxes qu’on nous impose et sont les meilleurs auxiliaires de la pensée unique actuelle (qui confond - entre autres - radicalité et extrémisme, égalité et égalitarisme, liberté et droit au n’importe-quoi) et promoteurs zélés en leur jeunesse (pas par conviction mais suivistes de nature, parce que c’était - déjà - la mode) du slogan anard "il est interdit d’interdire", ils sont aujourd’hui les premiers à vouloir encadrer les comportements des individus dans toujours plus de contraintes (sauf dans les domaines qui les arrangent) tout en acceptant béatement que des intérêts privés dirigent le monde au nom de St. Fric (le fameux "social-libéralisme" cher à leur idole "Con-Bandit"). Ce St. Fric qui leur tient lieu de faire-valoir social... Plus c... et plus pourris à la fois tu meurs !

Moi, ce qui me rassure c’est qu’ils vont disparaître, suicidaires qu’ils sont par bêtise, car ces "couches moyennes supérieures" ne résisteront pas à la super austérité (qu’ils défendent en plus !) de L’Europe de la spéculation qui s’annonce... Dommage que ce ne sera pas eux seuls qui en souffriront.

François P. WEILL

Quand on connait le milieu harley et son ambiance on ne peut que se régaler du talent de margerin , c’est tres juste et ça tient plus de la peinture que de la critique , excellent !

J’ai lu les premières planches dans le dernier Motomag.
Ouais, bof... C’est plat, insipide, loin, très loin, de Lucien....