Sujet

Nicolas
le 26 février 2013 à 00:05

Manuel Valls opposé à la dépénalisation des délits routiers

Alors que l’on pressentait un adoucissement de la politique de sécurité routière, le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, a déclaré, vendredi 22 février, qu’on « ne peut pas dépénaliser les délits routiers ».

Lire l'article
Tous les messages

Anonyme

le 1er mars 2013 à 23:22

Manuel Valls opposé à la dépénalisation des délits routiers

"La sanction doit...être exemplaire" dit le ministre ! Mais, j’ai l’impression que cette notion "d’exemplarité" vaut surtout pour les infractions routières !!!!

Répondre à ce message

Anonyme

le 1er mars 2013 à 15:25

Manuel Valls opposé à la dépénalisation des délits routiers

"Rien n’est, par nature, une circonstance aggravante." Précisément si. La vitesse par exemple... Il suffit d’avoir quelques bases en physique pour le comprendre. Côté domination, désolé pour toi si tu tends tjrs le bâton pour te faire battre.

Répondre à ce message

Anonyme

le 1er mars 2013 à 15:21

Manuel Valls opposé à la dépénalisation des délits routiers

Il me semble que Manuel Valls est également ministre du gouvernement, non ? Et sans doute pas le moins influent...
De toutes façons, la question n’est pas ce que pensent M. Valls ou Mme Taubira dont je ne prétends nullement dicter la conduite, lol (même si chaque citoyen a le droit d’avoir ses idées et de les exprimer). Au passage, je constate que la parole d’experts (peut-être d’affreux cadres A pour certains, qui sait) devient soudain parole d’Evangile. Je te rappelle aussi (car tu sembles ignorer cela également) que ce ne sont pas les ministres qui édictent les lois.
Par contre, pour ce qui est de l’acrimonie et de l’aigreur (à l’égard des "politiques" comme des fonctionnaires), là, tu sembles en connaître un rayon.

Répondre à ce message

Anonyme

le 1er mars 2013 à 13:39

Manuel Valls opposé à la dépénalisation des délits routiers

Tu tournes en rond, mon pauvre vieux, à débiter du truisme au kilomètre ! Rien n’est, par nature, une circonstance aggravante. C’est bien le législateur qui en dispose ainsi.

Tu devrais t’acheter un chien, plutôt que de venir encombrer les forums de Motomag. Ca pourrait couvrir ton besoin pathologique de domination.

Répondre à ce message

Anonyme

le 1er mars 2013 à 12:43

Manuel Valls opposé à la dépénalisation des délits routiers

"confondre la cause avec les faits liés à sa survenance", c’est un autre débat, qui risquerait de nous entrainer très loin.
Ce n’est pas un autre débat, c’est bien toute la question.Visiblement, tu es assez peu au fait des débats juridiques (lesquels risqueraient surtout de t’entraîner au-delà de ton seuil d’incompétence).
Il est bien question de la nature même des faits. Conduire avec un taux d’alcool au-dessus du maximum légal autorisé est ipso facto une circonstance aggravante. Juridiquement, la question est réglée.
En revanche, franchir une ligne continue (souvent tracée là où la visibilité est moindre voire nulle) n’est pas, par nature, une circonstance aggravante. Rien d’une lapalissade ici, juste la réflexion du législateur sur la commission des faits.
Ainsi, un conducteur a pu être amené à franchir une ligne continue à la suite d’un malaise ou du comportement dangereux d’un autre conducteur : il ne s’agit alors nullement d’une violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence imposée par la loi ou le règlement (c’est ainsi que sont définies une partie des circonstances aggravantes).
Comme quoi derrière ce que tu crois être une évidence, les choses sont bien plus complexes que tu ne le crois. Les nuances juridiques sont parfois hermétiques à certains...

Répondre à ce message

Anonyme

le 1er mars 2013 à 12:04

Manuel Valls opposé à la dépénalisation des délits routiers

Attention car tu prends comme exemple un cas trés particulier, celui du mec qui a tué deux policiers en percutant VOLONTAIREMENT leur voiture. Ca n’a rien à voir avec un accident banal.
S’il est établi devant la justice qu’il a percuté volontairement et n’a rien fait pour éviter le choc, ça risque fort d’ être qualifié d’homicide VOLONTAIRE. Et le témoignage du policier blessé qui était dans la même voiture risque de peser lourd.

Répondre à ce message

Anonyme

le 1er mars 2013 à 11:42

Manuel Valls opposé à la dépénalisation des délits routiers

"Tu voudrais sans doute que chacun concocte ses lois à sa sauce perso mais ce n’est pas ainsi que fonctionne une société démocratique."

N’inverse pas les rôles. C’est toi qui prétend dicter la conduite à tenir par Madame Taubira, ministre de la majorité issue des urnes en mai 2012 (et s’appuyant par ailleurs sur une commission d’experts) en lui demandant de se contenter de "repenser la prison" plutôt que de réfléchir à la dépénalisation.

Ne prends pas tes opinions personnelles pour la feuille de route du gouvernement.

Sur ce, je te laisse à tes supputations et à tes acrimonies... Salut !

Répondre à ce message

Anonyme

le 1er mars 2013 à 11:09

Manuel Valls opposé à la dépénalisation des délits routiers

OUI , pour la peine2mort !!!

il est statistiquement prouvé que 100% des personnes décédées des suites d’une infraction dont elles étaient coupables n’ont pas récidivé : C’est bien la démonstration de l’efficacité éducative de la sanction, non ?

Aaaaahhhhh, la peur du gendarme... peanuts à coté de celle du bourreau....

Répondre à ce message

Anonyme

le 1er mars 2013 à 10:56

Manuel Valls opposé à la dépénalisation des délits routiers

Ce qui ne m’échappe pas, c’est le fait que les élus (on peut préférer user du terme de "politiques" pour les discréditer d’emblée) le soient par les citoyens. Tu voudrais sans doute que chacun concocte ses lois à sa sauce perso mais ce n’est pas ainsi que fonctionne une société démocratique.
Par ailleurs, les députés étaient plus nombreux en 1958 qu’aujourd’hui ! Et si leur nombre fut ramené à 482 en 1962, la France comptait alors 46 millions d’habitants. Aujourd’hui, nous sommes 65,5 millions. Le nombre de députés a donc bien moins augmenté proportionnellement que la population. Tout faux donc ! Quand aux rêves des députés, ils relèvent surtout de tes fantasmes.
Enfin réduire les fonctionnaires de catégorie A à des fonctionnaires de bureaux prouve que tu connais assez mal ce monde, recouvrant d’ailleurs des réalités très diverses : un prof de collège est, par exemple, un fonctionnaire de catégorie A et prétendre qu’il n’est pas confronté au terrain... Maintenant, peut-être appartiens-tu à une autre catégorie, ceci expliquant sûrement cela...

Répondre à ce message

Anonyme

le 28 février 2013 à 16:56

Manuel Valls opposé à la dépénalisation des délits routiers

Plus de fonctionnaires de catégorie A au détriment des B (c’est la politique de la maison depuis au moins une quinzaine d’années), ça veut dire plus de textes et moins de terrain. On le verra vite avec le scandale des lasagnes : Va-t-on embaucher des contrôleurs ou se contenter de durcir les sanctions pour les fraudeurs ?

Idem pour les députés, qui rêvent tous d’avoir une loi à leur nom. Lesquels députés étaient moins de 500, il y a un peu plus de 20 ans. 6 députés en moyenne par département, c’est quand même très confortable à l’heure de la bagnole et d’internet. On parle d’ailleurs d’en réduire le nombre à 400.

Quant à la question de l’adéquation loi/sanction/prison, c’est aux politiques qu’il revient aujourd’hui d’en préciser les termes. Et à moins que tu ne sois homme ou femme politique, cette définition t’échappe largement.

Répondre à ce message

Anonyme

le 28 février 2013 à 11:53

Manuel Valls opposé à la dépénalisation des délits routiers

La question est moins de construire de nouvelles prisons que de repenser la prison.
" La faute à trop de députés, trop de fonctionnaires de catégorie A ?"
Quel gloubiboulga à la sauce "beauf" !
Trop de députés : et pourquoi ? Le nombre de député est fonction de la taille des circonscription, lesquelles ne sauraient être trop vastes pour que l’élu conserve un lien de proximité avec l’électeur.
Trop de fonctionnaires de catégorie A : tout le monde ne peut pas être de catégorie C et B, même si certains rêveraient de reclasser les fonctionnaires ainsi. Les concours sont fonction du niveau d’études, c’est aussi simple que cela. Si on veut recruter un personnel compétent, il faut tout de même ne pas le sous-payer excessivement....
La madame ne s’appelle pas Sarkozy mais elle pourrait bien s’appeler Poujade...

Répondre à ce message

Anonyme

le 28 février 2013 à 00:38

Manuel Valls opposé à la dépénalisation des délits routiers

"confondre la cause avec les faits liés à sa survenance", c’est un autre débat, qui risquerait de nous entrainer très loin.

Revenons au sujet. C’est la loi qui définit la nature juridique des circonstances aggravantes. A la question "pourquoi cette circonstance est juridiquement aggravante et pas celle-là ?", répondre "parce qu’elles sont de nature juridique différente", même Lapalisse n’aurait pas dit mieux...

Ceci étant réglé, pour vous répondre à tous les deux, à Fred et à toi : la conduite sous état alcoolique ou le franchissement délibéré d’une ligne continue sont des circonstances qui peuvent être toutes deux retenues comme aggravantes.

Répondre à ce message

Anonyme

le 27 février 2013 à 22:01

Hors sujet de toute manière

En l’occurrence, mieux vaut se référer au Code de la santé publique et au Code de la route.
Pour ta gouverne, d’un côté il suffit qu’un agent constate l’ivresse à des signes manifestes. De l’autre, il est nécessaire que soit mesurée l’imprégnation alcoolique pour que l’infraction soit constatée.
Aucune similitude de traitement dans les deux cas, c’est même le contraire ! Au volant, ton comportement peut être parfaitement normal, si tu es au-dessus du taux légal, tu es en infraction. A pied, s’il te suffit de 0,2 g pour être bourré, tu es en infraction. En revanche si, avec 2 g, tu ne laisses rien transparaître dans ton comportement, aucun souci...
Décidément, en matière de droit, ton ignorance est sans insondable.

Répondre à ce message

Anonyme

le 27 février 2013 à 20:44

Hors sujet de toute manière

J’ai écris "piéton alcoolisé" pas " piéton étalé dans sa bière". Quant à ton cas d’IPM apprend qu’un agent assermenté n’a pas besoin de faire souffler pour le constater, et ensuite verbaliser.
Pour info je tient ma source d’un type en uniforme bleu.

Le sujet du post était la similitude de traitement entre le piéton et le conducteur, pas le taux d’alcool.
Evidemment ça a du t’échapper puisque tu bois plus que moi.

Répondre à ce message

Anonyme

le 27 février 2013 à 17:19

Hors sujet de toute manière

"être piéton alcoolisé est punis de la même peine" : n’importe quoi !
L’ivresse publique et manifeste est punie d’une contravention de deuxième classe (en clair 150 euros maxi). En plus, il n’est pas alors question de taux d’alcool pour un piéton mais d’état alcoolique créant un trouble à l’ordre public.
Evite de boire avant de poster...

Répondre à ce message

Anonyme

le 27 février 2013 à 14:05

Hors sujet de toute manière

Et celles-ci sont cadeau.

Répondre à ce message

Anonyme

le 27 février 2013 à 13:25

Manuel Valls opposé à la dépénalisation des délits routiers

Nullement puisque certains semblent confondre la cause avec les faits liés à sa survenance...

Répondre à ce message

Anonyme

le 27 février 2013 à 13:16

Manuel Valls opposé à la dépénalisation des délits routiers

Ta réponse est une tautologie !

Répondre à ce message

Anonyme

le 27 février 2013 à 13:14

Manuel Valls opposé à la dépénalisation des délits routiers

Dix ans de régime "1 fait divers = 1 émotion = 1 loi".
C’était tellement plus facile d’en créer une plutôt que d’appliquer l’ancienne ! La faute à trop de députés, trop de fonctionnaires de catégorie A ? Trop de Sarkozy ?
Les prisons sont pleines, il n’y a plus d’argent pour en construire d’autres.
Le reste, c’est un choix politique. Et la madame ne s’appelle pas Sarkozy.

Répondre à ce message

Anonyme

le 27 février 2013 à 13:11

Hors sujet de toute manière

Et les autres aussi, tant qu’a faire.

Répondre à ce message