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Nicolas le 8 février 2013 à 15:24 |
Éthylotest : le fabricant Contralco supprime 226 emploisConséquence prévisible, mais dramatique, de la suspension d’obligation de posséder un éthylotest dans son véhicule : le fabricant français de ces ustensiles, Contralco, va supprimer 226 emplois. L’industriel, basé à Gignac (Hérault), avait embauché à tour de bras en anticipant l’application de cette mesure contestée, et en oubliant l’éventualité d’une alternance politique en 2012. |
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Anonyme le 9 février 2013 à 16:30 |
Éthylotest : le fabricant Contralco supprime 226 emploisde toutes façons,les éthylotests supportent mal d’être stocké dans des lieux trop chauds ou trop froids,ce qui est le cas d’une voiture en été et en hiver,la mesure n’intégrant pas l’obligation de renouvellement chaque année,la majorité des emplois ne pouvaient être que temporaire,le reste n’est qu’une question de logique et donc de bon sens... |
Anonyme le 9 février 2013 à 16:19 |
Éthylotest : le fabricant Contralco supprime 226 emploispour Voxan,c’est malheureusement trop tard... |
Anonyme le 9 février 2013 à 16:07 |
Éthylotest : le fabricant Contralco supprime 226 emploisNon, l’investigation concerne l’historique de l’obligation de la mesure. La manière dont Contralco a manigancé pour récupérer un marché juteux et captif (dont Contralco détient 90 %). Quant à votre explication sur le délai, elle est tout bonnement risible. Mes parents avaient déjà un éthylotest dans leur voiture. Les premiers éthylotests remontent au moins aux années 60. Et l’absence de décret n’a absolument rien à voir avec une quelconque certification. L’Etat avait d’ailleurs jugé cette loi de 70 complètement surannée, puisqu’elle a été abrogée en 2000. Quant à l’utilité pour réduire les tués à cause de l’alcool, c’est encore plus risible. Et pour tout dire particulièrement cynique, vu le contexte de ce scandale. Il y a une règle toute simple pour éviter de dépasser le seuil, que tout le monde connaît : "deux verres, ça va, trois verres, bonjour les dégats". Si cette règle ne fonctionne pas avec les individus qui provoquent des accidents (et ceux-là sont bien au-dessus du seuil légal), ce n’est certainement pas un éthylotest qui va servir à quoi que ce soit. Et on n’a même pas parlé de la fiabilité de ces produits stockés dans des conditions de températures qui dépassent les limites de leur agrément. Ni même de leur toxicité pour les personnes. Car si les vies sauvées par cet appareil sont plus qu’hypothétiques, le nombre de cas de toxicité est lui parfaitement connu. Voici un extrait du site Santé Log (professionnels de la santé) : "En cause, les nombreux cas de brûlure et autres effets indésirables recensés par les centres antipoison de France ces dernières années. Acide sulfurique, chrome, dichromate de potassium, autant de substances toxiques qui exposent les usagers et leur famille à des risques sanitaires mais peuvent aussi nuire à l’environnement et la faune aquatique. Les Centres anti-poisons ont ainsi recensé, entre janvier 1999 et juin 2012, 156 cas d’exposition entraînant des brûlures, irritations, céphalées, conjonctivites suite à la manipulation de ces dispositifs et prévoit une augmentation du nombre de cas avec le temps. Principales circonstances rencontrées, les expositions accidentelles du jeune enfant et celles concernant des jeunes adultes visés par l’autocontrôle en fin de soirée. Dans 4 cas, relève le CAPTV, le dispositif a été croqué et/ou avalé dans un contexte d’état d’ébriété avancé…Dans 13 cas, le contact buccal avec un dispositif dégradé et contaminé par du liquide a entraîné des effets irritatifs et corrosifs graves." |
Anonyme le 9 février 2013 à 15:23 |
Éthylotest : le fabricant Contralco supprime 226 emploisUn peu simpliste votre explication. Si reprendre les commentaires des forums vous appelez cela de l’investigation.....Autre chose si relever des faits mensongés c’est être obligatoirement actionnaire de contralco...... Sortez également de votre bulle. Si il a fallu 40 ans c’est tout simplement qu’il n’y avait pas suffisament d’industriels avec des produits certifiés pour mettre en place le décret d’application. Le rejet est unanime : vous oubliez les 60% des personnes interrogés qui sont favorables à cette mesure. Vous n’êtes pas pour encore une fois c’est votre droit. Mais ce n’est pas une raison pour raconter n’importe quoi sur les blogs. Vous connaissez le nombre de fabricants d’éthylotests : 2 francais et 1 sud africain pour les usages uniques, et 8 pour les électroniques. Quoi que vous en pensiez je trouve cet accessoire utile et il est dommage qu’il soit nécessaire de le rendre obligatoire. |
Anonyme le 9 février 2013 à 15:00 |
Éthylotest : le fabricant Contralco supprime 226 emploisCa veut dire que Motomag est lu et considéré comme un faiseur d’opinion. Et ça c’est plutôt bon signe ! |
Anonyme le 9 février 2013 à 14:59 |
Éthylotest : le fabricant Contralco supprime 226 emploisTant qu’à faire, moi, j’imposerais l’achat d’un deux-roues européen (Europe oblige) à tous les Européens, sous peine d’une sanction de 80 000 euros (ben oui, quoi, dix fois le prix du produit) !! |
Anonyme le 9 février 2013 à 14:51 |
Éthylotest : le fabricant Contralco supprime 226 emploisça y est, motomag a trouvé un nouveau public : avec l’article sur les moto taxi (ou pas), on a les conducteur de taxi auto qui viennent sur un site qu’ils n’auraient jamais fréquenté. Maintenant, c’est au tour des salariés de contralco. Désolé pour vous emplois les gars, mais c’est la loi qui régit le liberalisme : le marché régulé par l’offre et la demande. Or, ici, les emplois n’ont été créés que parce que l’Etat a imposé un achat, sans aucun espoir que ce soit réellement efficace. A moins que vous soyez d’accord qu’on vous impose l’achat d’une peugeot pour sauver les usines PSA ? |
Anonyme le 9 février 2013 à 12:06 |
Éthylotest : le fabricant Contralco supprime 226 emploisLa réelle investigation, elle a déjà été faite. Et les résultats ne sont pas brillants pour Contralco, auquel vous êtes très certainement lié d’une façon ou d’une autre. Sortez de votre bulle. Faites un tour sur les forums des articles de journaux consacrés à cette obligation. Vous constaterez que le REJET est UNANIME. Si la loi de détenir un éthylotest remonte effectivement à 1970, le décret d’application n’est jamais sorti, pendant plus de 40 ans. Ca devrait vous faire réfléchir. Comme devrait vous faire réfléchir la "fenêtre de tir" utilisée par Contralco pour mener à bien sa funeste opération : la crise de répressite aigue qui a animé le CISR de mai 2011. C’est typiquement une mesure de circonstance, aussi inutile que le brassard fluo pour les motards. Toutes deux destinées uniquement à montrer que le gouvernement faisait quelque chose. Quant à l’intérêt réel de la mesure, le fait que la LCVR, la plus répressive de toutes les associations de victimes, se soit prononcée contre, devrait suffire à convaincre les derniers réticents que cette obligation est une belle entourloupe. |
Anonyme le 9 février 2013 à 11:04 |
Éthylotest : le fabricant Contralco supprime 226 emploisje pensais que le travail d’un journaliste était avant tout l’investigation avant de publier un article. |
Anonyme le 9 février 2013 à 10:19 |
Éthylotest : le fabricant Contralco supprime 226 emploisPas du tout. Pour qui connaît l’historique de cette affaire, je le trouve objectif et raisonnable. Contralco n’a pas "saisi l’opportunité". Il a créé, pour son propre bénéfice, le marché de toutes pièces. Il a fait un lobbying acharné auprès du ministère de l’intérieur, responsable de la sécurité routière, dont il est par ailleurs fournisseur. Copains et coquins !! Pour le grand public, afin que l’opération soit plus discrète, il a monté une association bidon, pour la circonstance : I-tests. La même personne, responsable chez Contralco était responsable de I-tests et pour bien vérouiller l’ensemble, membre du comité de certification NF éthylotests !! C’est comme ça qu’une association inconnue de tous, créée de toutes pièces, a obtenu, en un temps record, l’obligation qui fait scandale aujourd’hui. Et alors même que de nombreuses voix s’étaient élevées pour dénoncer cette affaire, que le futur président lui-meme avait exprimé ses plus grands doutes, avant la présidentielle sur cette obligation, Contralco a embauché et démarré la production. Pourquoi ? Pour avoir une longueur d’avance et mettre le nouveau pouvoir devant le fait accompli ! Il comptait bien évidemment se servir de l’embauche de ses employés comme d’un levier pour maintenir une obligation, et un marché, qu’ils savaient menacés. Personne ne les a pris en traître. Contrairement à eux vis à vis des millions de conducteurs. On peut ajouter, parmi les griefs sur ce dossier, les aspects environnementaux, qui, malgré le cri d’alarme (présence de métaux lourds, risque de toxicité), n’ont toujours pas débouché sur la moindre mesure de recyclage. Tout est pourri dans ce dossier. Jusqu’aux larmes de crocodiles des dirigeants de la société ! |
Anonyme le 9 février 2013 à 10:09 |
Éthylotest : le fabricant Contralco supprime 226 emploisJe t’ai reconnu ConducteurConvaincu ! Daniel, c’est toi ? Mais mon pauvre Daniel, t’as joué, et t’as perdu. Reconnais le, sois beau joueur. Et par pitié, cesse d’insulter notre intelligence en sortant des arguments du genre "on a fait ça pour sauver des vies", c’est pathétique. Le seul et unique objectif de ta manip, c’était de faire du pognon, beaucoup de pognon. Fini le pognon ! |
Anonyme le 9 février 2013 à 10:01 |
Éthylotest : le fabricant Contralco supprime 226 emploisExact, qu’un patron fasse tout pour fourguer ses produits est normal. Que les consommateurs ne se laissent pas prendre pour des pigeons, aussi ! Consommateurs 1, Contralco 0 ! Game over. |
Anonyme le 9 février 2013 à 09:57 |
Éthylotest : le fabricant Contralco supprime 226 emploisDogmatique, tu rigoles ! Je n’arrive pas à comprendre comment on a pu lâcher des automobilistes sur la route avec un deux-roues motorisé alors qu’il s n’avaient pas la moindre idée de la façon dont un 2RM se guide ni des particularité de son freinage. C’était irresponsable. Une formation est indispensable non seulement pour la survie de celui qui s’achète un scooter 125 pour aller bosser mais aussi pour la sécurité des automobilistes, bus, pétons et motards qu’il va croiser chaque jour. Alors excuse-moi, mais dogmatique mon c.... ! |
Anonyme le 9 février 2013 à 09:50 |
Éthylotest : le fabricant Contralco supprime 226 emploisAssociation I Test à été créer en Juillet 2011 et moins de 6 mois après, l’état donne un accord favorable a l’éthylotest. |
Anonyme le 9 février 2013 à 09:47 |
Éthylotest : le fabricant Contralco supprime 226 emploistest, sa bug pour déposer les commentaires ! |
Anonyme le 9 février 2013 à 09:44 |
Éthylotest : le fabricant Contralco supprime 226 emploisBonne chance au employés |
Anonyme le 9 février 2013 à 09:08 |
Éthylotest : le fabricant Contralco supprime 226 emploisqui s’est soucié lors de l’imposition dogmatique de la formation 7 heures sur les 125 des répercussions sur le marché et l’emploi ? |
Anonyme le 9 février 2013 à 09:00 |
Éthylotest : le fabricant Contralco supprime 226 emploisquand je conduit JE NE BOIS PAS. et si je le fait, je ne M’AMUSERAI pas à à vérifier si je suis à 0.39 ou 0.41 ou de toute manière j’impose les mêmes risques aux autres et à moi même. Bien sùr, à 0.39 la moralité est sauve ! à 0.41 je fini au gnouf. quand je fait la fête (Même à 58 ans) si si ça m’arrive ! soi moi soit mon épouse restons strictement à jeun. Mais cela impose de l’éducation et non de la répression. |
Anonyme le 9 février 2013 à 08:51 |
Éthylotest : le fabricant Contralco supprime 226 emploisBien triste pour ces 226 employé(e)s (CDD ou INERM) ben oui ! pas des CDI pour faire des gadgets. Maintenant 226 emplois précaires ou faire c........ INUTILEMENT |
Anonyme le 9 février 2013 à 02:15 |
Éthylotest : le fabricant Contralco supprime 226 emploisSurprenante la teneur de l’article. Donc si j’ai bien compris c’est la faute du patron. Que ce dernier ne soit pas philanthrope c’est certain. Qu’il puisse "surjouer" en évoquant les licenciements c’est de la tactique. Mais de là à soutenir qu’il a manqué de flair, c’est à mon sens une interprétation d’une réalité bien différente. Qu’un patron saisisse l’opportunité pour vendre (et nous ne parlons pas d’une collaboration avec un régime corrompu ou criminel ou d’une loi anti-républicaine) ma foi ça n’est pas anormal. |