Saga BFG 1300 (1978 - 1996) : l’occasion ratée !

met toi en rapport asvec le club Moto Club BFG : on trouvera une solution !

BONJOUR
je cherche un nouvel étrier de frein arriére l’ancien est hors usage pourrais tu me dire ou je pourrais en trouverpour la bfg bien sur
d’avance merci

Salut MotoMag,

Excellent papier. Les BFG valent bien mieux que la réputation que certains leur ont fait. Il est amusant de comparer ce papier dithyrambique avec celui que vous aviez fait à l’époque .. et qui allait dans le sens de la quasi intégralité de la presse moto !! Bonne journée.

Herve de http://www.motardsenbalade.net

Un bel article honnête sur nos chères BFG, sans moquerie et sans exagération, ça fait du bien. Parce qu’en dehors des écrits et publications de Thierry Cazenabe il y a bien longtemps qu’on avait vu ça...
Pour ma part 14 ans en BFG, 120000km environ avec 2 motos solo et attelées successivement, jamais de grosse panne et bientôt une 3éme que je finis enfin de remonter (Achetée en pièces détachées !!!) ces jours-ci.
Que dire de plus sinon qu’effectivement quand on l’a essayée c’est dur de s’en passer, de sa tenue de route, de sa maniabilité et surtout de son gros moteur si sympa. Avec lui plus de rétrogradage, on passe la 5 le matin et c’est parti pour la journée... ;-))
Et pour le side c’est la moto idéale, cadre indestructible, faux-cadre standard conçu chez BFG, et toujours ce gros moulin qui tracte le tout sans sourciller, qui démarre même en 2éme sans faire cirer avec le panier chargé jusqu’aux oreilles, qui a toujours assez de souffle pour te tirer même des virages à droite abordés avec un peu trop d’optimisme... et tout ça avec une conso plutôt contenue pour un side.

je vous donne le titre , et vous gardez l’article de la BFG ...telle pourra etre un futur article sur autre moto française ....malheureusement .

Merci pour cette article dans lequel je retrouve toutes les qualités de cette bécane que je chevauche maintenant depuis plus de 18ans. Le truc le plus fantastique sur cette bécane, c’est ce couple d’enfer, qui vous fait passer les ronds-points en 5ème et reprendre sur un filet de gaz sans à-coups et vous relance à plus de 120/130 sur autoroute bien sûr...euh, oui monsieur, cela arrive des ronds points sur autoroute ! Mais aussi, le bon coup de pied au cul, lorsque vous passez les 4000tr/min quand le double corps se met en service.
La mienne n’a que 120 000 mais je l’ai tout de même emmenée jusqu’au Maroc et en Italie et je m’en sert encore très régulièrement.
Oui, son seul défaut "technique" est peut-être le poids et la hauteur, mais pour mes 1,88m c’est exactement la moto qu’il me faut.
Il est vrai que le cout d’entretien n’est pas élévé et la consommation raisonnable (5 à 7l/100 selon les saisons et l’usage).
Le moto-club est tout ce qui a de plus convivial et c’est un véritable plaisir de se rendre aux différents rassemblements...même mes filles de 12 et 9 ans sont accros, c’est vous dire !
Allez, appel de phare d’une BFG blanche ; - )

@innocenzi qui dit "Là je n’ai pas compris... Le cul se tasse plutôt non ?... "

Non, l’arrière remonte légèrement au démarrage... c’est dû à l’effet de couple de la transmission à arbre à un seul joint de cardan.
C’est un phénomène bien connu sur les BMW d’ancienne génération dont l’arbre ne comporte qu’un seul croisillon simple.

Perso, j’aime plutôt les japonaises des années 80 ! Chacun ses goûts.
Mais je comprends les BFGistes. Ces bécanes sortent de l’ordinaire, et l’aventure ratée d’une moto française est intéressante à plus d’un titre.
En outre, ce sont des motos fiables, et en voir rouler aujourd’hui me fait autant plaisir que si je voyais un 1100 GSX ou un 1100 FJ.
Le principal, c’est qu’il y ait encore et toujours la passion pour ces machines qui sont devenues des "collectors" (pas au sens pécunier, mais au sens rareté, je précise).
Je trouve dommage que l’aventure BFG se soit arrêtée. Le look aurait pu être amélioré par la suite, et le côté "finition qui évoque davantage le bricolage" aurait pu disparaître au profit d’une qualité de fabrication plus aboutie.
Dans le reportage on lit :
"À la manière d’une BMW de l’ancienne génération, le cul de la moto se lève à l’accélération. L’avant devient léger et le poids disparaît comme par enchantement dès que ça roule. "
Là je n’ai pas compris... Le cul se tasse plutôt non ?...
Bon, un grand V à toutes et tous et que votre passion pour les anciennes françaises perdure.

On peux souligner que motomag a toujours soutenu l’aventure, même en exagérant, allant jusqu’à comparer la bfg à un avion dans un article paru dans les années 80.

Je trouve que vous êtes durs avec les politiques qui ont équipé la police de bfg.

Bon article de synthèse sur notre bête...
Je vis entre l’Afrique et l’ Amérique du sud mais à chaque retour en France,ma Bfg reprend du service .Un recharge de batterie..et c’est partie pour humer le bon air de notre décrié mais magnifique pays.Et le moto-club BFG est l’un des plus sympas qui soient....

Triumph est revenu "d’entre les morts" parce que John Bloor, milliardaire magnat de l’immobilier y a mis beaucoup de pognon... et il a fallut qu’il n’en gagne pas pendant 10 ans avec ses motos avant que ça commence à être viable...

Quant à Montebourg, vaut mieux le laisser à ses marinières et ses envies de "bras de fer" avec Mittal, autre géant. Montebourg, son truc, c’est les paroles et les effets de manche. On voit ce qu’il n’a pas été capable de faire contre la famille Peugeot qui est pourtant pleine de fric dans ses coffres, ses fonds d’investissement et ses sociétés basées à Malte et autres paradis fiscaux...

Si BFG n’a pas été soutenue à l’époque par les politiques qui avaient pourtant fait de beaux discours, c’est parce qu’il y avait déjà des mecs comme Montebourg...

On a encore un peu d’espoir, même si c’est hors de prix, avec Wakan/Avinton.

C’est quand même incroyable. Tout autour de nous, on a des constructeurs européens en bonne santé. Même Triumph est revenu d’entre les morts dans un pays qui avait liquidé la quasi totalité de ses industries. La France est un pays fortement accro à la bécane, où elle est bien présente, et on est infoutu de se lancer dans cette aventure industrielle.

Pourvu que Montebourg soit capable de saisir cette chance !

Salut Didier,

le titre de cet article "l’occasion ratée" n’est pas un quolibet de plus en direction de la moto, il ne veut pas dire que la BFG 1300 est une moto "ratée". Le titre de l’article exprime substantiellement que c’est l’occasion, pour la France, de produire une GT, qui a été ratée. C’est le monde de la moto et les politiques de l’époque qui ont raté la marche et non les concepteurs de la BFG... Thierry Cazenabe ne dit pas autre chose dans son excellent bouquin "BFG MF Boccardo, enquête sur une décennie d’échecs".
La BFG était une bonne moto et pourtant, elle n’a pas réussi à convaincre les motards, les industriels, les politiques et les banquiers... l’occasion de re-produire, en France une grosse cylindrée et de lancer une marque a bel et bien été ratée.

BFG ha ! ! ! des quolibets depuis plus de vingt ans que je roule avec, j’en ai entendus de la part de copains qui pour la plupart n’ont plus leurs motos de l’époque (toutes revendues, usées ou ils s’en sont lassées) ma BFG solo totalise 280 000 km et ma BFG attelée 240 000km sans soucis majeurs et je compte bien faire encore des dizaines de milliers de km avec
une occasion ratée ! que nenni la preuve nous roulons toujours au quotidien avec ! ! ! et tous les propriétaires de BFG n’hésitent pas à prendre la route quelle que soit la destination

BFGiste depuis 1987 j’en suis à ma seconde.

C’est bien la première fois que je lis, dans la presse Moto, un article "honnête" sur la BFG. Un article qui constate ses défauts certes, mais qui reconnait ses énormes qualités.

Trop longue, trop lourde, trop carrée c’est aussi ce que j’ai dit en la voyant pour la première fois, et puis j’en ai essayé une.....................

Longue vie à cette Bécane Franchement Géniale.....................et à son club sans qui nous ne serions surement pas là pour en parler aujourd’hui.

F.R.

Petit point supplémentaire à mettre au crédit de ce moteur indestructible, c’est le seul moteur de série ayant obtenu une certification aviation, c’est dire sa fiabilité. Peut-être que des pilotes pourront confirmer ou infirmer.
Bonne route à tous

Excellente moto, c’était ma première. Je ne l’ai pas acheté en 1984 (date de la sortie de la mienne) mais en 2001 juste avant d’avoir mon permis. Pourquoi un tel choix ? Elle n’a pas la même gueule que les autres, c’est une moto française, c’est un moteur de voiture, c’est une excellente voyageuse et puis ....y a aussi le club, Pascal Haussy et les autres, les sangliers à la broche à Moto Légende. Aujourd’hui, je l’ai revendu à mon frère, il saura lui aussi l’apprécier. Merci à Marc que j’ai reconnu sur les photos et dans le style de l’article "et cette gueule de plan social taillée à la serpe ".
Bravo à Motomag, la moto quel que soit son millésime, c’est de la moto.

On ne va pas refaire l’histoire. Pour ma part, je l’ai attelée en 87 pour la naissance de notre aînée, puis son petit frère est sorti de la maternité dans le panier. Depuis, j’aurai du mal à les mettre tous les deux dedans. Mais pas question de me séparer de ma française, même si je ne roule pas tous les jours avec. On a quand même réservé nos places pour le TT 2013, histoire de montrer aux british une moto qui sort de l’ordinaire.
V

Et ben, un article sur la BFG ! ! ! La presse s’intéresse à notre belle moto française et c’est tant mieux. Je roule depuis 1990 en BFG attelée side car et je ne m’en sépare pas... J’ai depuis acheté une BFG solo que je garderai aussi . Pourquoi ? Parce que. Y a qu’à lire l’article et les commentaires de ceux qui ont pratiqué et de ceux qui pratiquent encore tous les jours.
On aime notre moto et on adore la famille BFGiste et son club dynamique animé par d’énergique bénévoles.
Ça ne m’empêche pas de rouler sur d’autres marques.
BFGistement

La BFG est une grosse moto curieuse au début et une fois essayée on ne sait pas pourquoi, mais il nous en faut une ! Je possède la mienne depuis 20 ans et tous les potes motards qui ont osé l’essayer ont été blufflés par son utilisation. Cordialement Thierry