Au premier coup d’œil, les différences avec l’ancien Yamaha 500 T-Max ne sautent pas aux yeux. Pourtant, la face avant et l’arrière ont été retouchés. La finition est correcte, mais sans plus. Le réservoir gagne un litre.
Coté chargement, un deuxième vide-poches arrive sur le tablier et la selle basculant sur l’arrière permet un meilleur accès au coffre mais ne gagne pas en capacité.
La position est parfaite, tous les gabarits y trouveront leurs marques et tous poseront les pieds au sol bien à plat. La bulle plus haute que sur l’ancienne version améliore la protection.
Puissance
Coté moteur, rien n’a changé si ce n’est une puissance et un couple en légère baisse, imperceptible à la conduite, du au passage à la norme euro 3. Sur la route, on retrouve avec bonheur ce qui fait la force du T-Max : une tenue de route digne d’une bonne moto.
Le nouveau cadre tout aluminium, associé à des tubes de fourche de plus grand diamètre, une nouvelle roue de 15 pouces et un empattement rallongé de 5 mm, apporte un comportement encore plus affûté en entrée de virage et sur l’angle.
Son châssis ultra-rigide permet d’attaquer sans autre retenue que la garde au sol un peu juste à l’attaque. Dommage, on commençait à prendre goût au pilotage ponctuée de freinages dignes d’une R1.
Ne reste donc plus qu’à passer en mode "balade" pour apprécier le confort, la protection et un ensemble moteur-transmission vif et volontaire.