Ce n’est donc pas seulement la chaîne d’assemblage qui vous intéresse ?
Non, nous voulons avant tout maintenir une marque de moto en France. Et nous croyons à l’avenir de l’électrique. Nous avions présenté un projet de reprise en partenariat avec Sodemo (qui fabriquait les moteurs atmosphériques de Voxan), fin 2009.
Avec eux, on aurait fabriqué des motos à moteur atmo et électriques.
Le tribunal de commerce de Clermont-Ferrand n’a pas voulu de notre plan. Alors on est allé seul à la vente aux enchères, avec pour but de maintenir une marque de moto française.
Cela se fera dans le secteur qui nous concerne, à savoir les engins électriques. Nous tenterons d’acheter la marque Voxan quand elle sera en vente, toujours dans ce but.