Utiliser un préventif anticrevaison et réussir une réparation
Pour ne pas gâcher une journée de vacances à cause d’une crevaison,
il convient d’anticiper l’avarie. Une première méthode consiste à rendre ses pneus « increvables », une seconde à s’équiper pour réparer.
Le pneu ou la chambre « autocoagulants » est bien connu des coursiers. Un gel préventif reste à l’état semi-liquide et se solidifie à la moindre fuite d’air, avec une perte de pression limitée.
L’efficacité de ces produits est telle que nombre d’objets perforants ne sont découverts qu’au changement de pneu ! Les 20 euros ne sont donc pas regrettés.
Prévention
Le mode opératoire ne diffère que selon le conditionnement : produit en cartouche à appliquer avec une pompe, ou en fiole à presser à la main. Comme le produit n’est pas récupérable, il est plus rentable d’injecter la « sauce » dès le montage du pneu neuf dans la roue démontée (étape 1). Mais le traitement est valable à n’importe quel moment de la vie du pneu, roue en place.
Selon sa consistance, l’anticrevaison se centrifuge de façon plus ou moins homogène (étape 2). Les moins fluides d’entre eux peuvent générer un balourd de 15 à 60 g voir MM n° 202, tests produits. Dans la pratique, ce balourd peut se ressentir à la conduite, mais seulement après un arrêt prolongé.