Leur fixation dans l’organisme est accentuée par l’inhalation d’autres toxiques, dont le tabac. Mais les solvants et autres substances contenues dans les produits d’entretien ou de bricolage jouent aussi un rôle très néfaste.
En attendant que les véhicules et/ou les casques soient équipés d’un appareil d’assistance respiratoire (gloups), il n’existe aucune solution miracle pour passer au travers des nuages nocifs.
L’utilisation d’un masque léger, comme en portent de nombreux cyclistes, ne prémunit que contre les particules les plus lourdes, de toute façon stoppées par les muqueuses des voies respiratoires et nasales (d’où la couleur du mouchoir après 1/2 tour de périph’ parisien).
Ce type de protection n’est pour autant pas inutile puisque qu’en évitant un encrassement excessif des muqueuses, il réduit l’effort de respiration et donc la quantité totale de particules absorbées.
Préférez en tout cas les masques de type médical, souples et enveloppants, aux modèles dédiés au bricolage, semi-rigides et moins performants.