« Messieurs les sanglés, tirez les premiers ! » Pas besoin d’en dire autant aux essayeurs de Moto Mag qui, de temps à autres, tombent eux aussi en panne d’essence. « Avec ça nous avons tracté durant dix kilomètres une Harley en panne d’essence », raconte Étienne, le chef de la rubrique des essais de Moto Magazine. Rien n’a cassé et les sangles sont toujours utilisées depuis.

Art conceptuel
Bien pensé et réalisé sont les mots qui conviennent. La sangle est en deux parties. Une est élastique, l’autre classique est équipée d’un bloqueur. Chaque extrémité dispose d’une boucle qui permet de passer telle quelle ou comme un nœud coulant autour d’un support, même non conçu à cet effet. On évitera la tuyauterie d’échappement. Ensuite un clip central permet de relier les deux parties autour du bagage.

La tension finale se réussit à la force du poignet avec la partie tendeur. L’arrimage est ainsi très solide et maintenu en tension par l’élastique qui agit en permanence comme un rattrapeur de jeu. Les risques de flétrir la carrosserie sont diminués et l’installation est beaucoup plus sécurisée qu’avec un sandow classique.

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