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Comparatif pneus sport-tourisme : le making-of

Maniabilité, Freinage, roulage sur piste mouillée : découvrez notre procédure de test dans cette vidéo !

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Autre nouveauté intéressante, le Continental ContiRoadAttack 2. La marque allemande, mal diffusée en France, souffre d’un déficit d’image que son CR2 pourrait contribuer à combler.

Ses arguments ? Un procédé de fabrication dispensant de période de rodage. De plus, un mode de cuisson de la gomme utilisant plusieurs températures lui confèrerait des qualités comparables à celles des bigommes (endurant au centre, adhérence supérieure sur les côtés).

Chez Bridgestone, le BT-023 est chargé de faire oublier le critiqué BT-021. Le manufacturier japonais a travaillé sur un nouveau dessin de sculptures, peu spectaculaire, mais qui améliorerait confort, longévité, adhérence sur le mouillé et stabilité.

Enfin, chez Metzeler, le Z8 Interact succède au Z6 homonyme. En réduisant la hauteur du pneu, Metzeler assure avoir augmenté la maniabilité et la stabilité.

Ce pneu assume son étiquette 100 % monogomme, à l’instar du Pirelli Angel ST, même si la variation de tension de sa carcasse – l’Interact – améliore la surface de contact au sol selon l’inclinaison. Détail amusant, le dessin des sculptures est inspiré par la lettre grecque Pi (π).

Tous ces arguments semblent convaincants sur le papier, mais qu’en est-il de leur efficacité sur le terrain ? Pour en juger, nous nous sommes rendus au Contidrom, le centre de développement de Continental.

Cette installation nous a permis de comparer ces montes selon notre protocole inspiré par les phases de conduite les plus délicates : conduite sur chaussée détrempée, évitement, freinage d’urgence sur le sec et le mouillé (voir notre vidéo).

A l’issue de nos tests le constat est évident, cette nouvelle génération a indéniablement progressé, notamment sur chaussée détrempée. Étienne Garcin-Marrou, notre spécialiste de la conduite en conditions précaires, a souvent ressenti l’impression d’évoluer sur le sec.

Ces performances sont autant de gain en termes de sécurité que de tranquillité d’esprit au quotidien. Autre critère à prendre en compte, le confort de conduite procuré par le profil. Entre des Conti très vifs, à la limite du déroutant, et des Michelin très ronds, voire pesants, il existe une variété de « personnalités » qu’il est intéressant de connaître au moment du choix.

L’intégralité de ce comparatif est à retrouver dans le n°279 de Moto Magazine, actuellement en kiosque.

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