Les 8 et 9 mars 2 derniers, les « Amis du circuit de Gueux » accueillaient sur leur stand sur du 21e Salon champenois 2008 du véhicule de collection, 
Le même GP de la Marne 1926 intègre des courses motocyclistes. C’est toujours le cas en 1930.
Le Grand Prix 1932 de l’UMF (Union motocycliste française qui deviendra par la suite la FFM) s’y déroule avec la victoire en 500cm3 du légendaire pilote anglais Stanley Woods (1903 -1993). Reims Gueux accueille en 1954 et 1955 des manches du championnat du monde.
En 1954, le pilote français Pierre Monneret y réussit même le doublé, remportant à la fois les catégories 350 (AJS) et 500 cm3 (Gilera). L’affiche annonçant partout ce grand prix de France était dessinée par le fameux Géo Ham.
Il change et s’allonge (8,302 km) entre 1952 et 1954 pour éviter des agglomérations. Comme l’ancien circuit des Essarts (Rouen, 76), Gueux était réalisé sur des voies de circulation publiques (RN 31, CD 26, CD 27) que l’on fermait pour la durée des épreuves. Un système qui pose de nombreux problèmes d’organisation et ne serait plus utilisable actuellement.
Purgatoire et sauvegarde
Après 1972, toutes les infrastructures (tribunes, stands etc…) ont purement et simplement été laissées à l’abandon. Elles se seraient totalement délitées si, depuis, une association loi 1901, « Les Amis du circuit de Gueux » (ACG), ne s’était donné pour but de « préserver les infrastructures et la légende de l’ancien circuit de Reims–Gueux », lieu mythique du sport moto et automobile au plus haut niveau. Des journées de nettoyage et de restauration sont régulièrement organisées par des participants bénévoles.
