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Les motos taxis pourront continuer à aller aux gares et aéroports avec une réservation préalable. Les comptoirs existants pourront se perpétuer, s’ils réunissent les conditions économiques de leur survie, et peuvent notamment régler la location de l’emplacement à l’administrateur de l’aéroport.

Le projet de loi prévoit un dispositif répressif sur le transport de personnes à moto, mais il ne définit ni la qualification des chauffeurs requise, ni les caractéristiques du véhicule. Avez-vous une idée précise ces critères ?

Les détails sur la qualification des chauffeurs et l’entretien des machines seront définis par un décret d’application. Celui-ci, déjà élaboré, fera l’objet d’ultimes concertations avant sa publication.

Intégrer l’encadrement réglementaire de cette activité à un projet de loi global sur la modernisation du tourisme réduit-il la portée de ce texte ?

Une loi dédiée, comme celle que j’ai proposée le 14 février dernier, aurait été une meilleure solution, mais le calendrier parlementaire ne permettait pas une adoption aussi rapide que le texte sur le tourisme, qui doit entrer en vigueur avant le 1er juillet 2009, notamment à cause de la TVA à 5,5 % dans la restauration. Le lien existe, car le transport de personnes peut rejoindre le tourisme d’affaires. Et puis ce service existe principalement autour des grands lieux d’accueil touristiques que sont les gares et aérogares.

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