En contrepartie, aucun aménagement législatif n’est prévu au titre du Code de la route pour leur permettre de circuler dans les meilleures conditions de sécurité et cohabiter en occasionnant un minimum de gêne pour les autres usagers. Les aménagements urbains dédiés à leur stationnement sont quant à eux anecdotiques dans les plans d’urbanisme des villes.
La seule réponse des pouvoirs publics à ces problèmes : la répression et les PV. Or, les deux-roues motorisés doivent être considérés comme des moyens de transport à part entière au même titre que les automobiles, les transports en commun, les camions de livraison. Ils l’ont fait savoir samedi dernier.
Jean-Claude Walter, pour la FFMC 46