Zèle des policiers
Pris au piège, les motards ont dû patienter sur la place de la Concorde. Nombre d’entre eux étaient venus manifester durant leur pause déjeuner, et sont rentrés en retard au travail. Il restait une dizaine de militants, qui ont porté une lettre de revendication au ministère de l’Ecologie.
Premier contact établi
Aux alentours de 14h 30, la plupart des motards libérés ont dû repartir travailler. Dix irréductibles militants se sont tout de même rendus devant le ministère de l’écologie. La FFMC a réussi a obtenir un entretien avec Pierre Bonis, chef-adjoint au cabinet du ministère.
Après plus d’une heure de discussion, les motards en colère repartent avec la promesse d’un rendez-vous avec le chef de cabinet chargé du « dossier ZAPA ». L’association laisse également une lettre officielle regroupant leurs revendications et arguments. Le dialogue est engagé entre le ministère et la FFMC : l’objectif de la journée atteint.
Rapport de force
Le rapport de force semble donc engagé, entre les motards et les autorités gouvernementales. Nous vous délivrerons une réaction de la FFMC dans les heures qui viennent.