Les 26 nouveaux équipements seront mis en service dans les départements suivants :
- Aisne (02)
- Aube (10)
- Cantal (15)
- Charente-Maritime (17)
- Corse du Sud (2A)
- Doubs (25)
- Eure (27)
- Haute-Garonne (31)
- Gironde (33)
- Hérault (34)
- Isère (38)
- Morbihan (56)
- Moselle (57) (deux dispositifs en service)
- Nord (59)
- Pas-de-Calais (62) (deux dispositifs en service)
- Bas-Rhin (67) (deux dispositifs en service)
- Haut-Rhin (68)
- Saône-et-Loire (71)
- Haute-Savoie (74)
- Paris (75) (deux dispositifs en service)
- Seine-et-Marne (77)
- Haute-Vienne (87)
- Vosges (88)
Les 20 premiers radars mobiles mobiles circulent dans les départements suivants :
- Alpes-Maritimes (06)
- Bouches-du-Rhône (13) (deux dispositifs en service)
- Calvados (14)
- Haute-Garonne (31)
- Gironde (33)
- Ille-et-Vilaine (35) (deux dispositifs en service)
- Loir-et-Cher (41)
- Loire-Atlantique (44)
- Loiret (45)
- Moselle (57)
- Nord (59)
- Oise (60)
- Pyrénées-Orientales (66)
- Rhône (69)
- Paris (75) (deux dispositifs en service)
- Somme (80)
- Vaucluse (84)
- Essonne (91)
« À l’heure de la concertation entamée par le CNSR (Conseil national de sécurité routière), où l’on parle de former, d’éduquer, d’informer plutôt que de réprimer, c’est à nouveau un mauvais message envoyé aux usagers de la route », regrette France Wolf, membre du bureau national de la FFMC (Fédération française des motards en colère). « Ces radars donnent l’image d’une sécurité « rentière » et piégeuse. Leur invisibilité et leur mobilité, renforcées par le principe d’automatisation, mèneront à des injustices et à des contestations. »