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Paris : caisse enregistreuse au Pont-Marie

Un heureux, le Trésor Public…
Qu’est-ce qui explique ce jackpot qui ne fait qu’un heureux, le Trésor public ? La limitation à 50 km/h, peu adaptée sur une route à deux voies d’une part ; mais aussi et surtout le fait que la petite boîte grise de seconde génération soit installée à 4 mètres de hauteur sur le trottoir surplombant la voie Georges Pompidou, au milieu des arbres.

Il existe bien un panneau sur le côté droit de la chaussée ; le conducteur le voit, mais ensuite il n’identifie pas l’emplacement du boîtier et peut être contraint d’accélérer sous la pression du trafic. Même à 60 à l’heure, le verdict est sans appel, c’est la prune assurée par courrier…
D’aucuns n’hésiteront pas à parler de piège, et franchement, comment leur donner tort ?

Une taxe de plus
La Préf’ a beau rappeler, dans Le Parisien de ce vendredi 13 novembre, que l’implantation des radars au cœur même de la ville a permis de réduire la vitesse moyenne dans la capitale, la pilule a du mal à passer chez les usagers des quais au quotidien.

L’impression d’être rackettés est accentuée par une telle différence du nombre de flashes entre deux appareils situés presque au même endroit. Plus de 14.000 coups de projecteur, c’est un véhicule pris en défaut toutes les trois minutes.
Et ce quelle que soit la nature, l’importance de la "faute" commise.
Qui a dit que la politique au radar était surtout pédagogique ?

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