Professionnalisation demandée en hausse

« Avant, CAP en poche, l’élève allait directement travailler, aujourd’hui les études sont de plus en plus longues et complètes, précise le directeur. » Les employeurs sont maintenant plus exigeants. Si la théorie est indispensable tant il est vrai que les machines sont complexes, l’expérience pratique acquise sur le terrain est devenue tout aussi précieuse pour décrocher un emploi définitif.

Les pros ne s’y trompent pas, puisque pratiquement l’ensemble des concessionnaires, réparateurs, importateurs de la région parisienne sont en relation avec l’INCM. 
L’apprentissage reste donc, malgré la crise et des employeurs plus frileux à l’embauche, une valeur sûre permettant d’obtenir une qualification en gagnant "un peu" d’argent de poche.

Vaste locaux

« Dans l’ancien lycée les élèves n’avaient pas de cour, pas de réfectoire, aucun lieu pour se poser, explique Didier Lamade, le directeur pédagogique de l’INCM. Au Bourget nous sommes dans la zone industrielle avec des locaux plus grands et mieux aménagés. »
L’établissement a maintenant une capacité d’accueil de 700 places.

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