Après quelques heures de visite, retour par « Rio Bravo » vers Payrac. La N20 amène en 1/4 h à Souillac. Bifurquer sur la D704A, 30 Km de régal : beau goudron et virages rapides.
La fin d’aprèm’ est l’heure idéale pour béquiller à Sarlat, se perdre dans les ruelles moyennâgeuses et choisir le « gastro » du soir, étonnamment abordable vu la renommée de la cité.
La générosité des plats et la modération sur les vins fins mettent en condition idéale pour redécouvrir les vieilles pierres sous la chaleur particulière de l’éclairage nocturne au gaz.
Restent 20 Km de virages très plaisants pour le retour aux Eyzies.
Le lendemain, réserver sa journée pour faire en quelques kilomètres un saut de centaines ou de milliers d’années en arrière, dans des sites tels que -La-Roque-St-Christophe ou la reconstitution de la grotte de Lascaux et ses peintures bouleversantes.
Du Périgord noir au Lot
Plein les yeux dans cette balade. Il fera bon de rouler tranquille, tellement le paysage en vaut la peine. Le cou se tord à scruter les châteaux perchés et falaises farcies de maisons troglodytes...
Au départ des Eyzies-de-Tayac, de beaux virages sur la D706 / D35 pour se « ‑mettre en jantes » jusqu’à St-Cyprien. La Dordogne remonte alors vers Beynac-et-Cazenac puis La-Roque-Gageac.
Le cou se tord à scruter les châteaux perchés et falaises farcies de maisons troglodytes...
À visiter à pied ! Gourdon (D46) puis Payrac. De là, la D673 et ses mille virages dans la rocaille désertique vous mènent dans une ambiance « Angoisse à Rio Bravo » vers Rocamadour.
Le choc. Un immense coup de griffe dans le plateau pierreux, sillon aux parois duquel des bâtisses formidables sont accrochées telles de gigantesques étagères au mur.