Le « rapide » autorise 35 km/h pour seulement 1h30 (45 km environ).
Il faut 3 heures pour recharger les accus à 70 % et 6 pour remonter le potentiel à son maximum.
Ultra silencieux et non polluant pour l’atmosphère, le e-Solex remplace donc très bien l’ancien pour le fabuleux tour du centre-ville.
Quant à concurrencer les quelques bons vieux « solbars » thermiques qui firent simplement celui du monde, c’est une autre histoire.
Celle de la propulsion bi énergie peut-être ?
E-Solex, le design électrique
Le concept bike du e-Solex a été présenté lors du Mondial 2005.
La commercialisation du e-Solex définitif s’est effectuée en 2006.
L’engin est l’un des rares deux-roues motorisés électriques présentés sur le Mondial 2007 à offrir un design soigné.
La carrosserie, signée Pininfarina, s’inspire largement du look de l’ancêtre. Le moteur n’entraîne plus la roue avant.
Il se place désormais au centre de la roue arrière. La « chose » surplombant la roue avant n’est plus qu’une simple boite à gants.
Bien plus économique encore que celui de l’ancêtre, le propulseur électrique de 400 watts, pour 36 volts, est alimenté par une batterie d’accumulateurs pesant 5 kg. Rien moins qu’un huitième du poids total de l’engin.
Doté de pédales, celui-ci s’utilise éventuellement aussi comme un vélo. Vu les 40kg à mouvoir, ce mode « tout manuel » est surtout intéressant... dans les descentes.
Ecolonomique avec des vrais watts dedans
Propulsion économique ou « rapide ». La bête possède deux vitesses commandées au guidon. Le mode « éco » autorise 22 km/h maxi pour 2h15 (60km environ) d’autonomie avant recharge.