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Vous n’êtes donc pas en accord avec le gouvernement ?
Nous sommes dans une société de droit, de bon sens, où l’on respecte l’esprit d’entreprise. De quel droit le gouvernement peut-il décider unilatéralement de supprimer l’outil de ceux qui ont fait le choix de partager la route ?

Avez-vous les moyens de faire revenir le gouvernement sur ces décisions ?
Le parlementaire que je suis vote ou non les lois, mais il a aussi une action de contrôle sur le gouvernement. Croyez-moi, mes collègues, de la majorité comme de l’opposition, commencent à bouger. Ce n’est pas dans l’urgence qu’on règle les problèmes, c’est en discutant, en travaillant en profondeur. C’est ce qu’on appelle la démocratie. J’espère que Monsieur Guéant entendra ses collègues députés de la majorité, et la rue.

Et puis, la loi se fait au Parlement. Nombre de collègues en ont assez. Qu’on suspende ces mesures, et qu’on travaille dans la sérénité en apportant de vraies réponses aux problèmes des accidents. Nous allons créer une commission de travail à l’Assemblée. J’ai écrit au premier ministre, et le mercredi 25 mai, je lui poserai une question ouverte sur la Sécurité Routière lors de la séance de questions au gouvernement.

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