Cela constituerai plutôt une sorte de vice de procédure. Entre ce genre d’oubli et des PV mal renseignés, « la plupart des relaxes obtenues dans des affaires d’alcoolémie le sont d’ailleurs plus pour des raisons de procédure que de dysfonctionnement du matériel », indique un autre avocat proche de la FFMC.
- Me Iosca, prouvant la non-fiabilité des tests d’alcoolémie, a obtenu la relaxe d’un automobiliste contrôlé avec 1,4 g d’alcool dans le sang. Un « cas isolé », selon Cécile Petit, déléguée interministérielle à la Sécurité routière.

Que les contrôleurs assurent ou pas, le meilleur moyen pour ne pas avoir besoin des services d’un avocat reste encore bien sûr de ne pas conduire si l’on a bu !

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