Autre avantage cette année, la présence dans le stand de 2 machines préparées, « ce qui permet aux mécaniciens de puiser dans cette banque de pièces. Malgré tout, on essaie de respecter la configuration d’usine. Plutôt que de dépenser trop d’argent dans des suspensions spécifiques nécessitant un développement important, on roule avec les Showa d’origine. La moto reste donc très facile, souple, avec une glisse très progressive. »

Une relative facilité qui peut se révéler utile sur une course de 24 heures, surtout si la météo fait des siennes. « C’est sûr que s’il pleut dans les 6 dernières heures, les autres teams auront du souci à se faire ! »

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