Si l’artiste ne fut jamais un biker sauvage (bien qu’il pratique toujours la moto… avec une certaine prudence), il restera à jamais ce « rebelle d’Hollywood » qui bouleversa les vieux codes cinématographiques toujours en vigueur dans les années 60.
Après son passage, le cinéma ne sera plus tout à fait pareil ! Et l’emblème de ce nouveau cinéma, c’est bien sûr Easy Rider.
Une illustration du fossé entre une jeunesse éprise de liberté, et la peur qu’elle inspire à l’Amérique profonde.
Une séance exceptionnelle de ce film culte a eu d’ailleurs lieu en présence de Dennis Hopper, le dimanche 19 octobre (voir le programme de La Cinémathèque Française de Paris).
À l’occasion de cette rétrospective, Moto Magazine offre à ses lecteurs une place gratuite pour une place achetée (coupon à détacher dans le numéro de novembre 2008 ou vous retrouverez une interview complète de Dennis Hopper réalisée par nos journalistes).