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Anonyme
le 1er septembre 2010 à 22:10

Histoire du Bol d’Or (2e partie) : 1969, le renouveau

Le Bol d’Or 1969 est le Bol du renouveau… Renouveau de la course moto, renouveau de la moto en général. Année mythique qui voit l’arrivée sur le marché d’un « monstre » japonais : la Honda 750 quatre-cylindres. Ce Bol d’Or c’est aussi la « naissance » de l’un de nos plus populaires pilotes moto des années 70 : Michel Rougerie.

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Anonyme

le 13 septembre 2010 à 22:52

Histoire du Bol d’Or (2e partie) : 1969, le renouveau

NON !!!
c’est au circuit du MANS !!!

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Anonyme

le 13 septembre 2010 à 07:33

Histoire du Bol d’Or (2e partie) : 1969, le renouveau

salut,

je sais pas quel age tu as , mais les années Le Mans étaient très bien aussi , et pour y être aller toutes les années ( au Mans ) il n’y a pas plus plu qu’au Castellet , tu te rappelles 1988 et les pluies diluviennes avec fin de course a 11h du matin et Nîmes noyée sous la boue ?
Le Mans ( et j’ai couru sur ces circuits en moto ) avait le charme des circuits a l’ancienne où tu pouvais manger une soupe a l’oignon a 4h du matin et sa fête a taille humaine , le paddock immense , une piste bien étudiée pour les motos ( courbe Dunlop et Chemin au bœufs de l’époque ).Comme le dis qqun plus haut , c’était contact humain ouvert et non réservé aux médias , mais c’est une autre époque .salut

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Anonyme

le 4 septembre 2010 à 09:36

Histoire du Bol d’Or (2e partie) : 1969, le renouveau

Exact. C’était une époque beaucoup plus permissive, ou le public était pris en compte, et non les média, comme aujourd’hui.

Pour la petite histoire, j’ai eu le grand privilège de pouvoir rester quelques heures, durant la nuit, dans le paddock d’une écurie privée (moto n°84) qui participait au Bol 1999 et au championnat du monde d’endurance. J’avais un copain qui était mécano dans cette écurie, et il n’y a eu aucun problème pour que je puisse aller dans le paddock.

C’était extraordinaire d’être passé de l’autre côté du muret. J’ai pu voir les ravitaillements, l’état de fatigue des pilotes et des mécanos. L’ambiance nocturne était presque irréelle.

Je ne sais pas si ce genre d’incartade est possible aujourd’hui, mais ce dernier bol d’Or au Castellet restera un de mes plus grands moments motocyclistes. En souvenir, nous avons laissé une table en bois, symbole de nos années festives au Castellet, que ce soit pour le Bol, ou le championnat du monde de vitesse. Snif !

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Anonyme

le 3 septembre 2010 à 15:30

Histoire du Bol d’Or (2e partie) : 1969, le renouveau

- il faut surtout ajouter l’incroyable proximité de vie et de pensée qu’il y avait a l’époque entre le public venue en moto et les pilotes , en ce temps la un pilote de course était avant tout un motard , pas une star milliardaire dans sa tour d’ivoire qui fait carriére.....

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Anonyme

le 3 septembre 2010 à 13:08

Histoire du Bol d’Or (2e partie) : 1969, le renouveau

Quel circuit ! Quelle ambiance ! Quelle folie ! C’était vraiment la fête européenne de la moto. Un délire bon-enfant, une saine anarchie autour d’une passion commune. Sans oublier une météo très souvent favorable. Tout pour la moto. J’étais au dernier, en 1999, et j’ai eu les larmes aux yeux quand on a envahi la piste pour une ultime fois. Le nabot Ecclestone a fait main-basse sur ce joyau sans que personne ne lève le petit doigt.

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Anonyme

le 3 septembre 2010 à 12:17

Histoire du Bol d’Or (2e partie) : 1969, le renouveau

Y’a rien à faire, le bol d’or c’est le castellet !

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Anonyme

le 3 septembre 2010 à 09:22

Histoire du Bol d’Or (2e partie) : 1969, le renouveau

J’étais trop jeune (7 ans), en 1969, pour assister au Bol, mais j’étais déjà un fêlé de bécanes. Par contre, j’avais du Bol (ah ah !) de voir passer des mecs qui passaient dans une grande courbe sous mes fenêtres en faisant de longues traînées d’étincelles. Mon premier émoi motocycliste eut lieu à la vision de la rutilante 750 Four de couleur marron-glacé qu’un voisin venait d’acheter. Quel souvenir !

Quant au Bol à l’ancienne, il suffit de regarder les photos pour comprendre l’ambiance qui y régnait. La communion entre le public et les écuries était naturelle. La passion l’emportait sur la raison économique, et tout le monde s’amusait.

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