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David Anser
le 24 juillet 2017 à 18:25

Conduire ou réfléchir, il faut choisir

Une étude britannique fait un lien direct entre le temps passé à conduire et le QI. Les personnes qui seraient plus de 2 à 3 heures par jour derrière un volant auraient un QI moindre que les autres. Un résultat qui s’expliquerait par le peu de sollicitation du cerveau en roulant.

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Lonewolf

le 22 août 2017 à 19:05

Conduire ou réfléchir, il faut choisir

moi, je voudrais bien une étude relative au QI des édiles qui nous gouvernent rapporté à l’efficience des mesures qu’ils font appliquer par la loi.... :-(

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ber83

le 17 août 2017 à 03:19

Conduire ou réfléchir, il faut choisir

Tout a fait d’accord avec ta dernière phrase

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HurluGurlu

le 9 août 2017 à 20:09

Conduire ou réfléchir, il faut choisir

Au volant, évitez simplement d’ écouter les GG (et RMC en général), et ça devrait bien se passer...

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AL

le 30 juillet 2017 à 18:05

Conduire ou réfléchir, il faut choisir

Que voici une belle étude qui ouvre de vastes horizons de réflexion , de plus cela concerne uniquement les anglais , circulant en Angleterre , quant au QI des anglais.. si ça m’en touche une ça ne fait pas bouger l’autre. < ;-p

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FRED

le 27 juillet 2017 à 11:03

Conduire ou réfléchir, il faut choisir

à l’anonyme du 25/07 à 12h30 : on parle ici de QI sur une population donnée, en moyenne. Donc évidemment qu’il va y avoir des gens avec des capacités intellectuelles et un niveau d’études élevés qui peuvent vouloir devenir chauffeur routier. Mais ça reste ultra marginal, donc ça n’impacte pas le QI moyen constaté.
Idem pour les habitants de banlieue vs ceux habitants en métropole. Globalement, le niveau d’étude d’un salarié habitant une banlieue populaire a un niveau plus faible que celui d’un cadre sup’ ou d’un trader ayant les moyens de se payer un logement dans les quartiers chics de Paris. Et comme ce dernier a accès à des transports en commun efficaces, contrairement au clampin qui habite en Seine St Denis qui lui devra prendre sa voiture ou son 2 roues...Evidemment, là encore c’est une généralité, qui n’empêche pas d’avoir un cadres sup’ qui n’a pas envie de payer 1500 euros de loyer de migrer en banlieue, ou même d’avoir un simple salarié avec un QI élevé. Mais une moyenne reste une moyenne. Et je suis curieux de combien de points de QI est censé impacter a conduite d’un véhicule.

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Anonyme

le 27 juillet 2017 à 09:07

Conduire ou réfléchir, il faut choisir

Ce n’était peut-être pas la peine de se lancer dans une étude complexe et couteuse pour mettre en évidence l’attitude de beaucoup de conducteurs écervelés ou décérébrés. Surtout en voiture. A moto, rouler sans cerveau = ambulance et hôpital dans le meilleur des cas.
En revanche, je ne pense pas que le fait d’être concentré au guidon (ou au volant), d’étudier chaque moment et chaque situation d’un trajet ramollisse la cervelle, d’autant plus s’il est long.
Quand je suis à moto j’oublie tout. Je me concentre sur ma conduite et l’environnement immédiat. C’est surement là le secret de la moto. On est obligé de faire abstraction du reste pour rester sur ses roues.
A moto, on ne fume pas, on ne mange pas, on ne boit pas, on telephone pas (ou presque), on ne discute pas avec son passager (ou presque), on ne baille pas aux corneilles. On reste concentré. Si la concentration et l’analyse constante de l’envionnement est signe de QI faible, alors c’est sûr j’ai aussi un faible QI.

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Anonyme

le 25 juillet 2017 à 12:30

Conduire ou réfléchir, il faut choisir

En effet Fred, on peut se poser la question de l’intérêt de cette étude si ce n’est de faire une publi de plus, certains labos fonctionnent comme cela, par contre je ne suis pas d’accord avec ton commentaire, un grand nombre de personnes et donc d’usagers de la route au Q.I disons normal si cela a un sens, sont relégués en banlieue des grandes métropoles vu les couts exorbitants du logement, certains s’éloignent volontairement des grandes cités (c’est mon cas) et de plus je pense que certaines autres choisissent délibérément d’exercer le métier de chauffeur routier par exemple...
Eric.

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Anonyme

le 25 juillet 2017 à 00:06

Conduire ou réfléchir, il faut choisir

La même étude aurait conclu que la présence de nombreux quidams dans la rue portant des parapluies aurait tendance à faire tomber la pluie...
Après l’auto qui tue, l’auto qui pollue, voici venir l’auto qui diminue !
Que les motards n’envoient pas pour autant leur machine à la casse. Il semblerait d’après d’autres études, autrement plus sérieuses, que la pratique de la moto permette de lutter contre les maladies de la dégénérescence (Alzheimer, Parkinson...).

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ludo51

le 24 juillet 2017 à 23:50

Conduire ou réfléchir, il faut choisir

Il y a longtemps que l’on sait que la voiture rend con , ce n’est pas un scoop !
Et avec toutes les aides à la conduite et les limitations de vitesse , ça ne va pas s’arranger .....
A moins justement que cela serve d’alibi ?

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FRED

le 24 juillet 2017 à 23:40

Conduire ou réfléchir, il faut choisir

Etude complètement stupide, car il y a fort à parier que les personnes qui sont amenées à conduite le plus longtemps sont celles dont le QI est dès le départ moins élevé. D’une part parce que sociologiquement, ce sont les catégories les moins aisées qui travaillent le plus loin de chez elles. Et d’autres part, parce que parmi ceux qui roulent beaucoup, on a les professionnels de la route, métiers qui ne nécessitent pas un niveau d’étude élevé.

On peut se poser des questions sur le QI des chercheurs ayant réalisé cette étude, et sur l’interet de la financer...

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Anonyme

le 24 juillet 2017 à 20:39

Conduire ou réfléchir, il faut choisir

Heureusement, avec l’avènement proche des véhicules autonomes, l’on pourra parcourir le Littré tout en se faisant conduire !
C.Q(I).F.D

Eric.

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