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Fabien le 19 novembre 2012 à 15:55 |
Carburant : Bercy réfléchit à une aide sociale pour l’essencePour contrer la hausse du tarif à la pompe, le ministère des Finances serait en train d’étudier une aide sociale à l’essence pour les foyers les plus démunis. Une info publiée par le Journal du dimanche. Cette mesure louable sur le principe, même si insuffisante pour contrer efficacement le prix de l’essence, pêche par ses termes d’application. |
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FPW46 le 23 novembre 2012 à 17:29 |
Carburant : Bercy réfléchit à une aide sociale pour l’essencePapy 78 : >> Depuis plus de 30ans les prélèvements sur les ’riches’ ont augmenté considérablement, l’endettement de l’état aussi ! Et le nombre de pauvres aussi ! << Sans doute parce que justement on fait croire que les travailleurs (salariés ou indépendants) de ce pays qui sont un tant soi peu qualifiés (et touchent encore UN PEU plus que le SMIC - alors que l’ensemble des salariés se "smicardise" de plus en plus) sont des riches... Or on est toujours le "riche" ou inversement le "pauvre" de quelqu’un. C’est la FAUSSE GAUCHE qui a réintroduit ce langage archaïque ! Le vrai langage c’est de parler d’EXPLOITEURS (ceux qui vivent du travail des AUTRES) et d’EXPLOITES (ceux qui enrichissent par leur travail les précédents)... Et les exploiteurs, eux ne payent pas "toujours plus depuis trente ans" mais TOUJOURS MOINS... Reporte -toi à la statistique officielle concernant la répartition du PIB entre capital et travail depuis 30 ans... Ce qui par ailleurs fait litière de l’argumentation qui prétend que les prélèvement sont "équilibrés" ... François |
Anonyme le 23 novembre 2012 à 15:19 |
Carburant : Bercy réfléchit à une aide sociale pour l’essenceLe manque à gagner serait encore plus important si les 40 millions d’automobilistes et les 4 millions de motards profitaient tous d’une baisse de la taxation (ou d’un crédit d’impot) sur les carburants ! Restreindre la promesse de Hollande (bloquer les prix de l’essence ou plus modestement faire un geste politique vis à vis du cout des carburants) aux plus démunis est une façon de la respecter (en partie) et de ne pas la rendre trop couteuse pour le contribuable. Taxes sur les capitaux vs taxe sur le travail : c’est globalement équilibré, malgré des effets de niches certains en faveur des plus riches (ex : le prélèvement libératoire forfaitaire). L’évasion fiscale des plus riches est surtout une légende urbaine présente dans le triangle d’or NAP. La mise en place du bouclier fiscal par Sarkozy n’a en rien fait revenir les gens. Et la France reste une destination très prisée des investisseurs. Quant aux prélèvements sur le capital, ils participent comme tous les autres à alimenter le budget de l’Etat ou des collectivités pour construire des écoles, des hopitaux, des routes, payer des profs, des infirmières etc... Les prélèvements sur les riches n’ont pas cessé de baisser depuis 10 ans. Même pendant la forte croissance des années 1998/2002, le gouverment a trouvé le moyen de réduire les impots au lieu de désendetter le pays. La dette, elle, a considérablement augmenté depuis une trentaine d’années principalement pour financer la santé publique et le chomage, du fait du vieillissement de la population et de nos nombreuses crises industrielles. En cela, le pouvoir politique n’a fait que répondre aux attentes des Français. Ceci étant notre dette n’est pas si catastrophique que ça, les avoirs financiers des Français valant plus du double de son montant. Nous ne sommes pas en situation de faillite. Ce qui est préoccupant, c’est sa continuelle augmentation. Le modèle social-libéral des économies européennes n’a rien à voir avec celui des pays soviétiques, à l’économie entièrement dirigée. Il faut bien voir aussi que la fameuse "théorie du ruissellement" qui consiste à croire que favoriser les riches profitera par retombées successives à toutes les autres classes sociales est passablement erronée. |
Anonyme le 23 novembre 2012 à 13:43 |
Carburant : Bercy réfléchit à une aide sociale pour l’essenceEncore une aide ’sociale’ ... Mais qui va payer le ’manque à gagner’ pour l’état qui absorbe déjà 56% de la production nationale. On va donc créer un nouveau ’prélèvement’ qui emploiera de nouveau ’gratte-papier- pour gérer tout cela... |
Anonyme le 22 novembre 2012 à 09:59 |
Carburant : Bercy réfléchit à une aide sociale pour l’essenceouf ! ça fait plaisir de te lire Weill parmis tous ces gens qui trouvent des excuses aux nanties pour nous plumer encore plus ; rappelons quand même que le prix du baril est passé de 140 $ à 80 $ en 2009 sans qu ’il y ait de baisse à la pompe ( lu dans notre magazine ) . La " société " n ’a jamais été aussi riche que maintenant , les profits sont énormes ; pourquoi un salarié donne la moitié de son salaire en charges sociales ( regardez vos bulletins de salaires ) et que l ’on ne pourrait pas faire pareil avec les revenus du patronat ? Et pareil pour les spéculations ; pourquoi on bloque mon livret d’épargne à 2,5% et on ne peut pas bloquer le benef des actionnaires ! J ’aimerais bien que mon livret me rapporte 12 % . |
Anonyme le 22 novembre 2012 à 01:01 |
Carburant : Bercy réfléchit à une aide sociale pour l’essenceOui, mais pour ceux qui font 40 bornes pour aller au boulot, ça ne changerait rien. Et pour ceux qui font 20 bornes, le passage aux frais réels n’est pas forcément intéressant. Mais globalement, conditionner l’aide à l’utilisation d’un véhicule pour aller bosser ou chercher du travail me semble une bonne idée... |
Anonyme le 21 novembre 2012 à 23:43 |
Carburant : Bercy réfléchit à une aide sociale pour l’essenceaugmenter simplement la distance "autorisée" pour les trajets domicile-travail au-dela des 40 kilomètres serait le plus simple et juste. Perso je suis à 96 km de mon boulot car pour me loger (acheter en vue de la retraite) y rien d’accessible plus près vu la faiblesse des revenus de notre couple ... prime donc à ceux qui bouffe du carbrant pour alimenter les caisses de l’État, est-ce stupide ? |
Anonyme le 21 novembre 2012 à 19:59 |
Carburant : Bercy réfléchit à une aide sociale pour l’essenceFaux problème. Quand tous ceux faisant de la valeur ajoutée arrêteront de travailler, on verra le merdier s’installer. Faudra tout remettre "à plat" et repartir sur de bonnes bases... Que chacun y mettes du sien... Et de suite ! Je suis un doux rêveur (les gens aiment trop leur petit confort quotidien)... Mieux vaut jouer que de se taper dessus ! L’essence pour tous à 0,75 cts le litre. |
Anonyme le 21 novembre 2012 à 11:59 |
Carburant : Bercy réfléchit à une aide sociale pour l’essenceEt pourquoi pas tant qu’on y est demander aux restos du coeur de refiler un bidon d’un litre d’essence à la distribution des repas ? Quand il pleut sur ton lit, c’est pas le lit qu’il faut pousser, mais la toiture qu’il faut réparer, hugh. |
Anonyme le 20 novembre 2012 à 13:02 |
Carburant : Bercy réfléchit à une aide sociale pour l’essenceTu sais, les fameuses classes moyennes que tu veux défendre, entre l’extrême droite qui veux faire payer les étrangers et l’extrême gauche qui veux faire payer les riches, ils choisissent le ps ou l’ump.... |
Anonyme le 20 novembre 2012 à 11:51 |
Carburant : Bercy réfléchit à une aide sociale pour l’essencema comparaison entre le chomeur et le smicard, c’etait pour faire la difference entre celui qui aura le droit à la prime et celui qui n’y aura pas droit, pas pour stigmatiser le 1er. Et si c’est facile pour le second de savoir ce qu’il a besoin comme carburant pour le second, c’est assez difficile à dire pour un chomeur. ça dépend combien de fois le pole emploi le fait déplacer pour rien... |
FPW46 le 20 novembre 2012 à 09:40 |
Carburant : Bercy réfléchit à une aide sociale pour l’essenceLà c’est le grand n’importe quoi ! Entre les naïfs qui continuent de croire que c’est le couillon moyen qui est responsable des pollutions (c’est pratique pour ceux qui gagnent du fric en polluant et ne payent jamais rien en réalité, car ils font supporter les surcoûts que - parfois - on leur impose par leurs clients) et que les pollutions aériennes sont les plus dangereuses (alors que celles insidieuses et invisibles comme les pollutions industrielles par les métaux lourds le sont bien plus) et font la révérence devant les ayatollahs de la secte verte et les gens qui croient que les chômeurs et les smicards sont les grands bénéficiaires du système (c’est sans doute parce que Moody’s l’a dit !), on n’est pas sortis de l’auberge ! Mettons les choses au point : 1 - Malgré la prétendue (et totalement fausse) "raréfaction des sources d’énergie fossile" les PROFITS des pétroliers n’ont jamais été aussi florissants ! 2 - En France, et depuis très longtemps, entre T.V.A. et T.I.P.P. quand on achète un litre d’essence (ou de gazole) on paye plus de taxes que de produit depuis des années ! En ce qui concerne la première remarque, au nom de l’Europe et de la "concurrence libre et non faussée" on a "dénationalisé" ELF... Donc on ne peut même plus agir en ordonnant à une entreprise nationale de baisser ses profits dans l’intérêt du consommateur (et en faisant pression sur les autres groupes obtenir qu’ils soient obligés de baisser les prix aussi). De même, on a renoncé à créer une surtaxe sur les profits des pétroliers car, toujours au nom de l’Europe (de la "libre circulation des capitaux" cette fois) on sait qu’ils menaceraient de transférer les sièges des boîtes ailleurs ! Question : qui profite REELLEMENT du "système ? Sur le deuxième point, il faut savoir que, contrairement aux idéaux de la Révolution Française, le budget de notre V ème République est alimenté à plus de 50% par les indirects (dont T.V.A. et T.I.P.P. sont parmi les fleurons !). or, contrairement à ce qu’on a réussi à faire croire à des naïfs des classes moyennes - réellement écrasés par l’impôt sur le revenu mais PAS à cause de la protection sociale - le seuls impôts justes sont ceux assis sur le revenu ! Le problème vient du fait qu’on se refuse à taxer les revenus du capital ne serait-ce qu’à hauteur de ceux du travail (et à mon avis ces revenus devraient être PLUS TAXES que ceux du travail)... Évidemment, dans l’Europe de la"libre circulation des capitaux" cela serait impossible car ils se barreraient ! ... Pas comme sous ce "gauchiste" de De Gaulle en 68 qui instaura le contrôle des changes pour éviter la fuite des capitaux pendant les "évènements" ! Au final, la "solution" envisagée par Bercy est effectivement un replâtrage qui sera comme d’hab payé par les contribuables des couches moyennes, c’est vrai, mais il sera inefficace, injuste et financé par des gens déjà en difficulté parce que la FAUSSE GAUCHE qu’est le P.S. et ses satellites veut continuer à nous enfoncer dans la catastrophe de l’Europe du capital, protéger les profits des pétroliers et les revenus des capitaux... même si ce ragoût est assaisonné à la sauce "Verte" !!! François |
Anonyme le 20 novembre 2012 à 00:04 |
Carburant : Bercy réfléchit à une aide sociale pour l’essenceEt si on réfléchissait (non, pas le brassard !) plutôt sur un système, solidaire, mais équilibré...du genre d’un coefficient d’énergie consommée (quota ?) modulé selon les besoins et surtout l’utilité ? Pour ma part, j’ai la chance de pouvoir me passer de chauffage...mais je roule pas mal... ...et surtout, commençons par baisser la clim l’été et le sur-chauffage l’hiver (bureaux, commerces, et autres lieux publics)...premières sources de pollution citadine, de plus. La gestion de l’énergie, c’est plus compliqué qu’une prime au litron de SP, faut juste s’y atteler une bonne fois . |
Anonyme le 19 novembre 2012 à 21:48 |
Carburant : Bercy réfléchit à une aide sociale pour l’essenceEt vous proposez quoi ? De faire cracher ceux qui en ont encore moins les moyens que vous ? Ou alors vous lorgnez plus judicieusement vers, par exemple, ceux qui ont les moyens de ne pas payer d’impôts (on parle pas mal d’un certain Google et d’un certain Starbucks, ces derniers jours ;-) ? |
Anonyme le 19 novembre 2012 à 21:35 |
Carburant : Bercy réfléchit à une aide sociale pour l’essencerespect je n’aurais pas dit mieux et je pense comme beaucoups la meme chose toujours les memes qui crachent |
Anonyme le 19 novembre 2012 à 20:52 |
Carburant : Bercy réfléchit à une aide sociale pour l’essenceIl faudrait réfléchir à un truc du genre "prime à la cuve", en fonction des revenus de la personne et de l’utilisation de la bagnole pour aller bosser (ou pointer au chomage ou rechercher un boulot). |
Anonyme le 19 novembre 2012 à 19:04 |
Carburant : Bercy réfléchit à une aide sociale pour l’essenceEffectivement, si on veut relancer la machine, c’est la France active qu’il faut encourager, celle qui se lève tôt et finance l’économie. ...et je suis bien placé pour en parler, puisqu’àprès avoir bossé dur pendant 20 ans, je suis désormais chomeur/RSA/CMU... ;j’ai déjà les TC gratos, pas besoin de prime à l’essence pour chercher du boulot. Le "changement", il a encore tout faux... |
Anonyme le 19 novembre 2012 à 18:51 |
Carburant : Bercy réfléchit à une aide sociale pour l’essenceBen visiblement, la question se pose un peu pour Sébastien... Et comme j’ai dit plus bas, tu peux aussi avoir besoin d’un véhicule pour chercher du boulot, alors ce n’est pas si stupide que ça de filer de la thune à des chômeurs ! Si c’est bien distribué, bien sûr. |
Anonyme le 19 novembre 2012 à 18:48 |
Carburant : Bercy réfléchit à une aide sociale pour l’essenceEn campagne ou en milieu urbain, tu peux aussi avoir besoin d’un véhicule pour pouvoir chercher du boulot... Après, je suis d’accord, c’est mieux si l’argent est correctement et logiquement distribué. |
Anonyme le 19 novembre 2012 à 18:23 |
Carburant : Bercy réfléchit à une aide sociale pour l’essencela question n’est pas de savoir s’il faut aider les gens dans le besoin ou pas. Mais quand on parle d’aider à diminuer le cout de l’essence, on file l’argent à ceux qui en consomment pour aller bosser, pas à des gens qui n’ont peut-etre même pas de véhicule. |
Anonyme le 19 novembre 2012 à 18:17 |
Carburant : Bercy réfléchit à une aide sociale pour l’essenceou au hasard. C’est vrai que c’est super logique de filer le fric du carburant à un mec au chomage par exemple et vivant en milieu urbain, qui souvent bénéficie de la gratuité des transports, alors que le smicard qui vit en milieu rural sans transports n’aura droit à rien. |