Gilet jaune, plaques d’immatriculation et airbag : la FFMC calme le jeu
16 avril 2013, 12:27
"Avant tout, nous voulons une justification par des chiffres de l’efficacité des gilets jaunes chez les automobilistes depuis 2008, via une étude."
C’est en effet par là qu’il faut commencer. Parce qu’une fois que l’obligation est là, c’est quasi impossible de revenir en arrière. On l’a vu récemment avec l’éthylotest. On l’a vu aussi avec le CT : instauré en 1992, malgré une étude de l’équipement (Dominique Lebrun) qui a révélé son inutilité pour la sécurité routière, on doit toujours le supporter en tant qu’automobiliste. Et on a du mal à le rejeter en tant que motard.
"Avant tout, nous voulons une justification par des chiffres de l’efficacité des gilets jaunes chez les automobilistes depuis 2008, via une étude."
C’est en effet par là qu’il faut commencer. Parce qu’une fois que l’obligation est là, c’est quasi impossible de revenir en arrière. On l’a vu récemment avec l’éthylotest. On l’a vu aussi avec le CT : instauré en 1992, malgré une étude de l’équipement (Dominique Lebrun) qui a révélé son inutilité pour la sécurité routière, on doit toujours le supporter en tant qu’automobiliste. Et on a du mal à le rejeter en tant que motard.