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Alpinestars GP-Air : ventilation Alpinestars GP-Air : doigts tactiles Alpinestars GP-Air : boulochage Alpinestars GP-Air : renfort

Les conditions météo actuelles, quasiment estivales, prolongent le plaisir de porter des gants d’été. À commencer par la paire GP-Air signée Alpinestars, un modèle que nous avons testé durant 2 mois et 7000 km. Verdict.

Les gants d’été doivent être tout à la fois protecteurs et ventilés. Deux qualités que regroupent ces GP-Air, une paire de gants esthétiquement agressive destinée à un usage routier.

Taillés dans un cuir de chèvre, recouverts en partie d’une variante synthétique, ces gants dégagent une bonne impression de sécurité. Celle-ci est renforcée par des protecteurs rigides idéalement placés. La passerelle entre l’annulaire et l’auriculaire —qui limite les risques de retournement de ce dernier— laisse toute liberté de mouvement.

Rodage indispensable
Lors des premiers tours de roue, on est surpris par leur rigidité, une sensation qui a perduré pendant deux semaines en dépit d’un port quotidien. Ils atteignent ensuite le niveau de souplesse définitif. La manipulation des leviers ou des boutons-poussoirs est excellente.

Ventilation optimale
Nul besoin d’écarter les doigts pour ressentir l’air circuler le long de la paume, des panneaux de mesh, plus ou moins conséquents et éloignés des zones exposées, favorisent le rafraichissement et évite toute sudation.

Bilan
À condition d’accepter de voir ces gants boulocher, les GP-Air se positionnent parmi le top des gants d’été tant ils combinent les différentes qualités (ventilation, protection, confort). Leur tarif est bien placé compte tenu de la qualité des matériaux employés et de l’assemblage.

Dans nos éditions :

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