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Se nourrir contre le froid : à retenir Se nourrir contre le froid : le p’ti déj Contre le froid  à moto : pensez fruits secs ! Se nourrir contre le froid : la barre de céréale

Dans l’idéal, il doit comporter au moins des glucides (pain, biscottes), des lipides (laitages, fromage) et des protéines (fruits secs, céréales). Commencer le petit-déjeuner par un fruit frais stimule les sécrétions digestives, ouvre l’appétit et apporte des vitamines (C surtout). Le midi, éviter les plats en sauce, mijotés et souvent trop gras.
Privilégier les poissons issus des mers froides (saumon, maquereau, hareng, thon), car les graisses qu’ils contiennent favorisent la fluidification du sang, et sa circulation. Primordial lorsqu’il fait froid.

Hamburger ou barre chocolatée ?
Bien que la plupart des chaînes de fast-foods rivalisent d’ingéniosité pour vanter les mérites nutritionnels de leurs produits, le hamburger contient une quantité non négligeable de produits inopportuns (sel et sucre raffinés, graisses hydrogénées et transgéniques…).
La barre chocolatée est donc plus indiquée en cas de « petit creux » (à condition de lire la composition…). La consommation de ces friandises riches en glucides simples rapidement assimilables permet de reconstituer les réserves. Elles peuvent être avantageusement remplacées par des fruits secs.

Vitamine C ou D ?
Si la vitamine C est très utilisée l’hiver pour mieux résister aux infections, elle ne joue aucun rôle curatif. On oublie plus fréquemment la vitamine D, essentielle pour favoriser l’absorption du calcium par l’organisme.
Elle est directement synthétisée par notre peau via les rayons solaires, qui font souvent défaut en hiver. D’où la nécessité de renforcer les apports de vitamine D au travers de l’alimentation (champignons, sardines, huîtres, beurre…).

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