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Travaux pratiques pour Seb’ Euphorie chez Intermoto Czech Xaus meilleur Ducati Max Biaggi à la peine à Monza
James Toseland (N°52) semble intouchable une fois de plus. Il domine la première séance d’essais du superbike de Monza.

Le pilote anglais James Toseland (Honda CBR 1000 RR) réalise le meilleur temps de la première séance d’essais qualificative de Monza en 1’45’’953. Il devance Noriyuki Haga (N°41) de 36 centièmes. Régis Laconi (N°55) sort de sa réserve en nous gratifiant du 4e meilleur temps à 59 centièmes de son ancien co-équipier.

Déception pour Troy Bayliss (Ducati 999 F07) qui pointe dernier des 7 pilotes à être dans la même seconde que le leader au classement provisoire. Mais a-t-il promis « J’ai un certain nombre d’idées pour améliorer le comportement de la moto, notamment la sensibilité au freinage ». On peut croire l’Autralien qui compte tout de même 3 doublés à Monza.

Sébastien Charpentier semble bien remis de la chute qui l’a affectée à Donington en début de saison.

En supersport, Sébastien Charpentier a semble-t-il repris du poil de la bête « Cela va beaucoup, beaucoup mieux » assure-t-il. « Ma condition physique est revenue ». Résultat le Charentais réalise le meilleur temps de la première séance qualifs en 1’50’’711.

La lutte sera serrée avec son co-équipier, puisque ce dernier n’apparaît qu’à 80 millièmes derrière le français. Autant dire rien.

Ils ne sont que 5 pilotes à être dans le rythme du champion sortant, dont Fabien Foret.

Yoan Tibério (Honda CBR 600 RR) figura dans le Top ten à 1’’37 du Charentais. Enfin la bonne surprise, vient de Matthieu Lagrive, qui apparaît à la douzième place avec la Honda privée du team Intermoto Czech N°81.

La déception, vient plutôt du team GMT 94, qui ne place ses pilotes qu’à la 21e et 24e place à plus de deux secondes des leaders.
Désormais les deux Yamaha du team parisien, bénéficient de moteurs neufs. « Mais il nous manque le temps nécessaire à leur développement » indique Christophe Guyot. C’est sans doute la rançon que paye le team manager a vouloir courir deux lièvres à la fois, dans deux disciplines qui n’ont strictement rien à voir.

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