MM : Comment est-il perçue par les pilotes et les organisateurs votre présence et surtout votre travail ?
RL : Il y a certes un travail de sensibilisation à faire encore, à tous les niveaux, mais en général tout se passe bien. Avec les pilotes, il n’y a aucun problème et ce sont eux qui sont les plus sensibles lorsqu’on parle d’environnement. Les mentalités ont beaucoup changé. Quant aux organisateurs, et même si cela implique un peu de dépenses en plus qui parfois pèse dans le budget du club organisateur, les choses s’arrangent de plus en plus.

MM : Existe-t-il un code de l’environnement à la Fédération française de moto ?
RL : Oui puisque celui de la FIM s’applique dans tous les pays membres. Néanmoins, je peux vous dire que le président Jacques Bolle est très sensible au respect de l’environnement autant qu’il est attaché à la sauvegarde des sports mécaniques. Comme lui, je pense qu’au sein de la Fédération et dans l’ensemble des acteurs du sport moto, on est des personnes responsables et capables de gérer correctement l’alliance entre notre passion et le respect de l’environnement. Sans que personne ne nous dicte le chemin à suivre…

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