Le printemps est une saison propice à la pratique du deux-roues. Il fait beau, il fait chaud et le soleil illumine le bitume… Mais il y a des animaux, perchés sur les hautes branches des platanes parisiens, qui supportent assez mal la saison, et étalent au grand jour leurs soucis gastriques.

Méfiance donc, au moment de garer sa moto, car leur situation stratégique les place souvent au-dessus des parkings où l’on vient stationner sa monture. Le temps d’un week-end, la Suzuki d’un journaliste à la rédaction de Moto Magazine, en a fait les frais… Elle était stationnée gare d’Austerlitz, dans le 13e arrondissement de Paris.

Quel plaisir de devoir enfourcher sa belle ainsi décorée un lundi matin, et de sentir les effluves des crottes réchauffées par les échappements… À croire que les pigeons parisiens ont reçu des consignes de la part des écolos pour bouter les vieilles motos hors de la capitale !

Conseils : inspecter les lieux avant de se garer
Nos conseils aux motards et scootéristes en impératif de stationnement urbain : avant de laisser son deux-roues sur un emplacement, regarder s’il est déjà constellé d’excréments. Si c’est le cas, en choisir un autre. Il n’y a pas de raisons que la famille de pigeons ayant établi son logement à l’étage supérieur ne cesse ses déjections.

Les plus observateurs noteront que, dans un parking 2-roues encombré, si un emplacement est vide, c’est très souvent qu’il a été choisi comme toilettes publiques par ces oiseaux peu urbains. Méfiance de rigueur, donc, quand, en chasse d’une place moto, on en trouve une miraculeusement…

Enfin, s’il n’y a aucune trace au sol, lever la tête permet de repérer le feuillage d’un arbre dans lequel pourraient nicher des columbidés. Attention, certains choisissent (exprès ?) les branches les plus longues, éloignées du tronc…

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