En images

Avertisseur de radars : le patron de Coyote Avertisseur de radars : le patron d’Inforad Avertisseur de radars : le patron de Wikango Avertisseurs de radars : création d’une association

Que risque t-on ?

Les sanctions en la matière vont jusqu’à deux ans de prison et 30.000 euros d’amende pour la vente d’appareils signalant la position des radars (fixes et mobiles), et jusqu’à 1.500 euros d’amende et le retrait de 6 points pour la possession de ce type de matériel.

Tous concernés

Coyote, Wikango et Inforad ne sont pas les seuls à être concernés par cette mesure d’interdiction. Tous les systèmes permettant de prévenir de la présence d’un radar, même ceux installés dans les GPS ou autres smartphones seront interdits, a indiqué le ministre de l’Intérieur, Claude Guéant, lors d’un déplacement sur une opération de sécurité routière au circuit Carole (93).

Les Français ont-ils perdu la mémoire ?

Pourtant, lors de leur mis en place, les radars n’avaient-ils pas été « vendus » comme étant des outils de prévention, installés sur des lieux dangereux, et signalés pour ne pas que les usagers se sentent piégés… On nous aurait alors menti pendant des années ?

Les fabricants souhaitent que le gouvernement revienne sur sa décision. Ils espèrent être reçus rapidement par le ministre de l’Intérieur pour faire entendre leur voix. En attendant, ils donnent rendez-vous à l’ensemble des usagers afin de manifester leur opposition à cette mesure.
Le rendez-vous est fixé le mercredi 18 mai, à 13h00, dans plusieurs villes de France : Paris, Lyon, Marseille, Bordeaux ou Lille. Chaque utilisateur sera prévenu, via le système, par un message d’alerte lui indiquant le lieu et les modalités de l’action.

(*) La mesure d’interdiction des avertisseurs de radars a été dévoilée à l’issue d’un Comité interministériel de sécurité routière (CISR) à Matignon, organisé mercredi 11 mai.

PS : (Mise à jour du 13/05/2011) Avertinoo qui développe la seule application Iphone d’avertisseur rejoint l’AFFTAC

Publicité