Certains imputent cette défection à la crise, d’autres (y compris dans les hautes sphères) à certains spectateurs qui se comportent comme des voyous… Il y a peut-être une part de vérité dans tout ça, mais on pourrait parler aussi d’un certain nombre de décisions prises par la FIM (Fédération internationale de motocyclisme) qui ne font pas l’unanimité ou d’un règlement à faire évoluer. On pourrait citer aussi le prix des entrées, les services offerts, la promotion des épreuves françaises d’Endurance, la communication…

Mais il ne sert peut-être à rien de polémiquer autour d’une discipline qui souffre certes, mais qui sait offrir beaucoup de bonheur pour peu que l’on s’imprime de son essence. Après l’arrivée il y aura les vainqueurs et les perdants, mais il y aura surtout énormément de gens heureux d’avoir partagé 24 heures de passion.

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